1. Ethique de travail


    Datte: 08/04/2020, Catégories: fh, frousses, rousseurs, Collègues / Travail caférestau, fsoumise, fdomine, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral pénétratio, aliments, attache, policier,

    ... doigts de vin. Soulevant le bassin de sa partenaire, il éleva encore plus la bouteille. Les deux doigts de rosé se déversèrent dans la fontaine. « La dernière goutte. » chuchota-t-il. « La goutte de la vieille fille, selon la tradition. Que se passe-t-il si elle se perd en toi par ces chemins inhabituels ? » Elle lui fit un sourire torve. Débarrassant la bouteille, il plongea vers ces lèvres débordantes de deux savoureux liquides. Il lapa le vin à nouveau, et fouilla les chairs de sa langue, tandis que Véronique gémissait de plus en plus fort. Il revint lécher le clitoris, puis replongea la langue entre ces lèvres qui ne lui offraient aucune résistance. Et encore, et encore. Et il n’y tint plus. En la prenant par les épaules, il la redressa. Il la conduisit sur son membre dressé et s’enfonça en elle. Il glissa sans difficulté dans ses profondeurs humides, et ils crièrent de concert. Il retint sa respiration un moment dont la longueur lui échappa, tentant de contrôler encore l’orgasme qui menaçait. Et accélérait la cadence de ses va-et-vient, frénétiquement, comme si sa vie en dépendait. Le plaisir se propageait dans tout son corps. Le seul son qu’il entendait était les cris de jouissance de sa partenaire, qui occultaient les siens. Il était grisé des effluves du vin, de la sueur de Véronique. Il explosa en elle. Elle reposait dans le creux de ses bras, les mains toujours attachées dans le dos. Elle avait les yeux fermés et sa respiration était régulière. Dormait-elle ? ...
    ... Comment savoir, avec elle ? — Tu es une femme étrange, murmura-t-il. Tous ces jeux auxquels tu joues sans explication… tu me forces pratiquement à te dominer, et puis tu ne cesses de te rebeller… c’est fou. Mais ça me plaît. Il ignorait si elle entendait. Elle n’en donnait aucun signe. Ses paupières se fermèrent. Il s’endormit. Samedi matin. La matinée était bien avancée quand Simon se réveilla. Véronique n’était plus dans le lit. Pas un son dans la maison. Les vêtements de Véronique avaient disparu. Sur une table, il trouva des ciseaux et le bout de ficelle avec lequel il l’avait attachée. Il revint vers sa chambre. Son regard se posa sur le fameux dossier, reposant toujours sur la table de chevet. Il y avait une note dessus. « Rappelle-toi bien qu’avec ceci, tu peux toujours me faire faire ce que tu veux. V. PS : la prochaine fois mets les ciseaux plus près du lieu de nos ébats, ce sera plus pratique quand je devrai repartir le lendemain. » Il eut un rire nerveux. Et puis revint à l’objet de ses préoccupations : ce fichu dossier, qui allait désormais lui empoisonner la conscience. Il le prit, entreprit fébrilement de le feuilleter. Une liasse de feuilles blanches s’en échappa. Rien d’autre. Un rire fusa de sa gorge, clair, franc. Un rire de soulagement, libérateur, salvateur. Se laissant retomber au milieu de ses draps, il rit tout son saoul, à en perdre haleine. Et quand enfin les derniers hoquets se tarirent, il se sentait léger, léger ! Sa vie allait sans doute être bien ...