1. Ethique de travail


    Datte: 08/04/2020, Catégories: fh, frousses, rousseurs, Collègues / Travail caférestau, fsoumise, fdomine, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral pénétratio, aliments, attache, policier,

    ... avait plus les moyens. Il avait eu la force – la faiblesse ? Aucune certitude à ce sujet, surtout maintenant – d’y renoncer. Le visage grave, arrondi, de la jeune femme lui revenait en mémoire, à chaque seconde. Ses lèvres, roses, pleines. Ses joues légèrement relevées. Ses taches de rousseurs. « Faites ce que vous voulez. » Il la menacerait d’appeler la sécurité. Elle avait encore le dossier avec elle. Elle ferait ce qu’il veut. Il la repousserait dans l’ascenseur, ils s’y bloqueraient. Il l’embrasserait goulûment sur ces lèvres qui le hantaient. Il lècherait ce cou parsemé de rousseurs qu’il n’avait fait que humer. Il remonterait cette jupe trop longue, glisserait une main dessous, caresserait ses fesses de l’autre. Que portait-elle dessous ? Diverses images de strings coquins se succédaient rapidement dans sa tête. Il aimait la lingerie fine, ça l’excitait. Premier étage, enfin. Il était à bout de souffle. La réalité reprenait ses droits. Rattraper un ascenseur en dévalant les escaliers ? Et puis quoi encore ? Surtout après le long moment d’hésitation qui l’avait saisie avant de se précipiter. Quatre, cinq minutes complètes ? Bien assez pour qu’elle disparaisse sans laisser de trace. Son sexe déçu se calmait dans son pantalon. La demi-érection qui restait ne tendait plus sa braguette. Heureusement, car le garde de sécurité regarda bizarrement ses vêtements trempés de sueur, ses cheveux en bataille, la teinte rouge qui lui était montée au visage. Pourrait-il rattraper ...
    ... Véronique avant qu’elle n’arrive à sa voiture ? Il y renonça. Mieux valait que les choses restent en l’état. Maintenant qu’il retrouvait ses esprits, il frémissait à l’idée de ce qu’il s’était senti capable de faire à peine un instant plus tôt. Simon était un homme scrupuleux. Il était fier de sa moralité. Au volant de sa voiture, Simon sentait toujours son bas-ventre protester, réclamer soulagement. Une odeur emplissait son nez, qui n’était ni celle de sa propre sueur, ni celle de la ville. Son cœur battait vite. Ses muscles étaient tendus. La circulation était bien dense ce soir. Etait-elle toujours ainsi ? A cette heure ? Impossible, n’était-il pas déjà tard ? Un coup d’œil à l’horloge radio le détrompa. L’heure de pointe s’achevait, mais n’était pas finie. Un coup d’œil au ciel lui apprit que le soleil ne faisait que commencer ses adieux. Le ciel était encore assez clair, il se teintait tranquillement de jaune. La circulation était toujours aussi dense. Il devrait peut-être essayer un détour… une idée stupide s’il voulait rentrer chez lui. Il ne voulait pas rentrer chez lui. Il étouffait. Il avait besoin d’air. De femmes. L’Amandine était toujours aussi plein. Il se remplissait très rapidement, dès le début de la soirée. Simon y était un habitué. Il aimait l’ambiance, la lumière tamisée, la musique originale mais toujours entraînante. Il aimait la clientèle. Pas seulement les femmes : il s’était aussi fait de bons amis de beuverie, ici. Et de bons contacts professionnels. Mais ...
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