Ethique de travail
Datte: 08/04/2020,
Catégories:
fh,
frousses,
rousseurs,
Collègues / Travail
caférestau,
fsoumise,
fdomine,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
pénétratio,
aliments,
attache,
policier,
... nuit naissante avec un petit signe de la main. « Allez, au plaisir de te voir dans ton état normal ! » Les quartiers chauds. Les filles peu vêtues arpentaient les trottoirs. Talons très hauts, jupes très courtes, strings visibles, vêtements moulants, brillants, corsages échancrés. Pas la première fois que Simon passe par ces rues, mais c’est bien la première qu’il regarde aussi attentivement. Qu’il roule aussi lentement. Jamais il n’avait eu recours aux services d’une professionnelle. Et ce ne sera pas encore ce soir, résolut-il. Les sourires aguicheurs semblaient légion, ce soir. Ces filles-là, au moins, ne le prendraient pas pour un maniaque. Elles en avaient sans doute vu de vrais. Lui, il était seulement un homme dans un état d’intense excitation. Ou alors ? Un léger doute très désagréable l’assaillait. Extrêmement désagréable. Et pourtant, ces longues jambes… ces poitrines offertes. Vulgaires, certes… pourquoi les clients des putes recherchaient-ils autant la vulgarité ? Ces sourires soulignés à gros traits par le rouge à lèvres. Ces dents blanches… ces moues de suceuses. Il roulait lentement. Il y avait deux filles, là, semblables aux autres. Mais superbes avec leurs crinières blondes. L’une portait du cuir rouge. L’autre un justaucorps aux reflets argentés. La première, dans le dos de la seconde, caressait négligemment les fesses de celle-ci. Puis elle remonta vers les hanches, le ventre, les seins. Elle les prit à pleines mains, les pétrit à travers le vêtement. ...
... Toutes deux le regardaient du coin de l’œil. Il s’était complètement arrêté. Juste devant elles. Il bandait… dur. Et si… ? Après tout, pourqu… la fille qui se faisait caresser les seins tourna la tête vers lui et le regarda avec un sourire de mangeuse d’hommes. L’espace d’une seconde, ils se regardèrent droit dans les yeux. Ils étaient verts, d’un vert diabolique. Simon sentit toute salive déserter sa bouche. Sa queue cherchait la liberté à travers sa braguette. Il ne comprit jamais le mouvement suivant qu’il fit. Il écrasa l’accélérateur. Non, il ne comprendrait jamais ce réflexe. Mais était-il seulement en état de savoir ce qu’il faisait ? Il n’avait pas bu, mais c’était tout comme. Il était ivre, ivre d’un désir qui lui faisait peur. Il freina en catastrophe. Il avait failli renverser un piéton, client potentiel des belles. Car Simon ne serait le client de personne ce soir. Il accéléra à nouveau, fuyant les tentatrices. Son lit était bien vide. C’était presque un soulagement. Il se caressait savamment, jonglant avec les images de la soirée. Il repoussait celles de Véronique. Trop dangereuses. Il se remémora ses doigts courant sur les hanches d’une belle blonde. Les mouvements lascifs des filles qui dansaient à l’Amandine. Des déhanchements excitants. Et puis les grands yeux de la petite blonde. À la façon curieuse dont elle le regardait… « Faites ce que vous voulez »… et puis ces belles cuisses bronzées, celles de la belle brune… il repoussa cette image aussi… « Elle s’est ...