1. Six "sions" pour une scission. (5)


    Datte: 10/04/2020, Catégories: Transexuels

    ... Prends ça ! Han ! Han ! » Il la baise encore plus fort qu’il ne l’a jamais fait avec moi. J’envie Lucille, mais je dois me cantonner au rôle de spectatrice. J’assiste, impuissante, à un enchaînement de positions insensées. Lucille est tellement souple et tellement plus légère que moi, il la fait voler dans tous les sens. Elle a eu au moins trois orgasmes en moins de dix minutes. Il finit par lui éjaculer sur les seins, avant qu’elle s’empresse de récolter ce précieux jus qu’elle avale ensuite. Et moi dans tout ça ? Je finis, résignée, par aller dans ma chambre, où une Lucille transpirante me rejoint finalement. « Désolée Jess, je ne sais pas ce qui m’a pris. J’en avais besoin sur le moment. Je suis vraiment désolée. » Que pouvais-je lui dire ? Elle venait de me faire vivre ce que je lui infligeais depuis un mois, plusieurs fois par jour. « Je te pardonne, viens dans mes bras, lui dis-je. » Je voulus l’embrasser, mais elle préféra simplement se reposer, contre moi. À son réveil, je lui proposai de faire nos valises, et de nous enfuir, toutes les deux, ce qu’elle accepta avec joie. Nous faisions nos valises discrètement, chacune dans notre chambre, lorsque soudain, la voix de Monsieur retentit : « Une petite chienne pour venir mettre la table ? — Certainement pas ! hurlai-je, dans un cri libérateur. On se casse, Lucille et moi ! » ‘Clac – clac – clac – clac…’ Un bruit de talons se fit entendre dans l’escalier. Je me précipitai alors pour avoir confirmation de mes craintes : Je pouvais voir Lucille, assiettes et couverts à la main… Horreur !… Monsieur m’avait domestiquée en quelques secondes avec sa bite. Cela lui avait pris un mois pour parvenir à ses fins avec Lucille, mais il venait de réussir à en faire sa chienne. Je les entendis ensuite baiser comme des fous. Lucille hurlait tout autant que moi, mais ce qui me choqua, ce sont les gémissements et les cris de Monsieur. Je ne l’avais jamais entendu prendre autant de plaisir. Lucille, petite garce… je te déteste !
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