Voir, c'est croire
Datte: 27/09/2017,
Catégories:
fh,
volupté,
Oral
préservati,
pénétratio,
... ses muscles, pour que le liquide coule jusqu’entre ses cuisses. De la langue, le gantier suivit le même chemin, jusqu’au pubis. Là, avec les dents, il tira sur le fin tissu. Elle se souleva en resserrant les jambes pour l’aider à lui ôter son dernier rempart. Il était à genoux devant elle, et d’une main ferme écarta ses cuisses. Elle se trouvait ouverte, son sexe à hauteur du visage désireux de l’homme. Il versa encore un peu de champagne sur sa toison, et abandonna la bouteille achevée derrière lui. Elle se crispa au contact du froid, qui fut bien vite effacé par la langue chaude du gantier. Le mélange de ces deux nectars était divin pour lui, et il comptait ne pas en perdre une goutte. Chaque recoin du sexe de Marion fut exploré, détaillé, léché, goûté. Avec ses doigts, il ouvrit un peu plus les lèvres intimes de la jeune femme, et y enfonça la langue. Elle gémissait en appuyant le visage de Raphaël contre son sexe. — Je connais un petit quelque chose qui se sent délaissé… souffla-t-elle. Il la regarda. Elle était superbe, ouverte ainsi à ses caresses, mais il en voulait plus. — Regarde-moi. Marion ouvrit les yeux et son regard fut happé par celui de Raphaël, qui ne le lâchait plus. Toujours les yeux rivés aux siens, il recommença à faire courir sa langue. Ses paupières s’abaissèrent. — Non, ne ferme pas les yeux, regarde-moi ! Elle le fit. Quand il se mit à sucer son clitoris, elle fit un effort monumental pour les garder ouverts. Mais elle comprit. Il voulait voir son ...
... plaisir dans ses yeux. — Arrête, je vais jouir… gémit-elle.— C’est ce que je veux ! répondit-il.— Non, je veux jouir avec ta queue en moi. Elle avait dit ça avec une impudique franchise, sans trace de vulgarité, un naturel déconcertant. L’attirant alors plus à lui par les genoux, brusquement, il glissa sa verge en elle avec facilité. En deux coups de reins, il y fut planté jusqu’à la garde. Il se coucha sur Marion, les mains sur son visage, dégageant les mèches de cheveux éparses sur son front, et commença à aller et venir en elle. La jeune femme s’accrochait à ce regard bestial en le sentant bouger. Chaque coup de reins était comme une nouvelle vague de plaisir, elle plantait ses ongles dans le dos de cet homme qui l’excitait tant. — Tu aimes ? questionna-t-il.— Oui, souffla-t-elle. J’aime avoir ta queue dans la bouche, autant que j’aime l’avoir au fond de mon ventre ! Il dut retenir sa jouissance. Qu’elle arrive à lui dire ça, avec tant d’audace, de plaisir et, surtout, sans trace de lubricité dans le regard, avait failli le faire jouir. Cela lui rappelait leur première nuit. Elle était la première à faire preuve de tant d’assurance. Une assurance qui le déconcertait. Et ce fut lui qui rompit le lien visuel qu’il avait imposé. Il avait honte tout à coup de son émotion. Il redoubla de vigueur, sa verge martelait son vagin, il la limait avec force. Marion bougeait, accompagnait du bassin les mouvements masculins, elle l’entendait balbutier des propos qu’elle ne saisissait pas, ...