1. Le printemps


    Datte: 15/04/2020, Catégories: fh, hbi, couplus, boitenuit, amour, Transexuels facial, Oral fsodo, hsodo, échange, confession,

    ... conclut ce moment de partage. Ainsi ce que m’a raconté sa femme était vrai. C’est drôle d’entendre les confidences de ce mari qui ne sait pas où il en est. Il est comme beaucoup. Incertain, avec des fantasmes, mais pas le courage de les exprimer et encore moins de les réaliser. Nous partons rejoindre nos femmes. Elles nous rejoignent au resto. Manifestement elles se sont éclatées. Leurs achats sont restés dans leur voiture. Le repas est un modèle du genre. Deux couples qui font connaissance. Nous sommes bien plus sages que la veille. J’ai tout de même l’impression de me répéter et je dois me surveiller en permanence pour ne pas montrer que je connais Anaïs plus qu’intimement. Heureusement Valériane propose que nous allions danser un peu. Je redoutais de commettre un imper. La boîte de nuit est du genre qui ne se fait plus, un peu ringarde, un peu désuète, mais toujours très appréciée par une clientèle d’un certain âge. On peut y danser. Eh oui, cela devient rare. La musique évite d’avoir à soutenir une conversation. Bien sûr nous dansons. Évidemment que nous échangeons nos partenaires. Petit à petit on se décontracte et je dois dire que ma femme joue un peu la séductrice. J’ai réussi à lui parler des confidences que j’ai échangées avec Loïc. Elle doit se faire un plaisir de le draguer un peu. Connaissant notre vécu cela ne doit pas trop le surprendre. Moi, par contre, galant, mais assez sage, je m’occupe de sa femme. Mais, sans prévenir, un incident se produit. J’en suis la ...
    ... cause bien involontaire. Alors que Loïc et ma femme reviennent d’une danse exotique qui ne cache pas un appel à l’érotisme aussi bien par les mouvements que les paroles, je dis, croyant être subtil : — Vous avez vu, Anaïs. Je me demande si on ne devrait pas les surveiller. Quel couple ils forment ! On dirait qu’ils se connaissent depuis longtemps. La remarque acerbe de la femme m’étonne. — Oh, mon mari est coutumier du fait. Je me souviens d’un certain mariage… Je dois dire que j’attendais plus une plaisanterie dans le genre de la mienne que ce rappel. C’est étonnant comme on peut être de mauvaise foi. Voilà une femme qui a un amant, vient chez nous pour une partie fine, qui ne se gêne pas pour bien en profiter et qui se permet de faire une remarque de pure jalousie à son mari. Mais lui ne se laisse pas désarçonner et il rétorque : — C’est la nappe qui te rappelle ce souvenir ? Et il montre qu’en effet la nappe de notre table descend très bas. Mais Valériane intervient aussitôt. — Oh ! Arrêtons là ! Vous n’allez pas vous chamailler pour si peu !— Tu en as parlé à ton amie ?— Et toi ?— Allons, ne gâchez pas cette soirée. Tiens, Pascal, emmène donc Anaïs danser, pendant que je parle à Loïc. Nous laissons le couple seul et j’entraîne ma partenaire qui se calme peu à peu. — Tu ne manques pas de culot ! Pour un peu c’est ton mari qui a tout fait et si je le crois, car il m’a donné sa version, il n’a fait que se défendre de sa partenaire alors que toi tu… Et je ne parle pas d’Alban. ...
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