1. Les femmes du hammam Episode 2 : La vengeance de B


    Datte: 15/04/2020, Catégories: Anal Humour, Inceste / Tabou

    ... Baya était divin ! Mais le croisement et le frottement l’un contrel’autre, à travers les fines parois du vagin et du rectum, de nos zobs donnait encore plusd’intensité au plaisir que je ressentais ; et que mon frère et notre femme, ressentaient aussi!Moussa et moi, comme si nous étions dans un concours sportif, tirions en force Baya qui était entrenous, comme une poupée désarticulée. Lui et moi ahanions fortement à chacune des montées etdescentes de nos hanches et chaque pénétration de nos engins dans les trous de notre maîtresse.Baya elle criait de plus en plus fort qu’elle était au paradis ; que jamais de sa vie elle n’avaitressenti quelque chose d’aussi fort ! D’aussi délicieux ! Qu’elle en voulait encore et encore ! Elleappelait même sa mère, pour qu’elle la voie comme cela entre deux hommes qui l’emportaient auseptième ciel !- Yemma ! Ach hal m’lih ! Chouffi bentek kiffach ta‘ati rouh‘ha le rdjel! Kiffach i-nikou‘habezzour! Kiffach et-hab zboub fi t’qabi‘ha! Yemma! Yemmaaaaa ! (Maman ! Comme c’est bon ! Regardecomment ta fille se donne à des hommes ! Comment ils la niquent en force ! Comment elle adore leszobs dans ses trous ! Maman ! Mamaaaaaan !)Nos ahanements à Moussa et à moi se transformèrent rapidement en des cris rauques de plaisir qui semélangeaient à ceux de Baya. Ni Moussa ni moi, ne parlions pendant que nous tirions notre femme.Mais – au moins pour moi – les paroles que prononçait Baya et qui devenaient de plus en plusincompréhensibles accroissaient ...
    ... l’intensité de notre désir, qui était pourtant déjà à son maximum.J’avais l’impression d’être dans un autre monde ; un monde irréel ; un monde où je pouvais planer etnous regarder entrain de copuler à trois et de prendre un plaisir immense ; un monde où la moindreparcelle de mon corps et de mon âme n’était que désir et plaisir. Un monde où je voyais réellementla jouissance – la mienne et celle de mes deux autres partenaires – débouler sur nous comme untorrent impétueux et nous emporter.Je n’avais encore jamais vécu cette sensation de quitter mon corps et de me dédoubler pour deveniren même temps l’acteur et le spectateur de la scène qui se déroulait. C’était vraiment merveilleux! Je pense avoir perdu un moment connaissance, parce que je ne me rappelle pas qui de nous troisavait joui le premier. Tout ce dont je me rappelle, c’est que tous les trois nous nous sommesretrouvés complètement vidés, à bout de souffle et imbriqués les uns dans les autres. Nous mîmesplusieurs minutes pour sortir des brumes dans lesquelles nous nous étions enfoncés et pour entendreDjamila qui me demandait de me lever pour me nettoyer.Je mis un certain temps pour comprendre ce qui se passait. Quand je compris que Djamila me demandaittout simplement de lui présenter mon sexe, complètement ramolli, pour qu’elle le nettoie avec sabouche, je n’hésitai pas une seconde. Je me levai difficilement – permettant ainsi à Baya de selibérer de mon poids et de s’allonger aux côtés de Moussa – et m’assis au bord de la ...
«12...6789»