En attendant Gulliver - Histoires de Sexe

En attendant Gulliver

... ma féminité et…une main sur le genou, remonter sur la cuisse, et me jouer un peu ce rôle dont j’avais envie, et je profite d’un feu rouge pour lui caresser moi aussi la cuisse. Ou va-t-on, chez vous ou chez moi ? chez vous, c’est vous qui conduisez. Sous sol, parking, ascenseur, entrée dans un loft de bon volume, un balcon terrasse de bonne dimension, un CD jazzy-groovie, et deux long drinks à base de gin et nous nous voilà assis face à face dans une paire de clubs profonds, et mon play-boy de me dire « tu danses ? », et c’est vrai que j’en avais envie : en chemisier, mes pointes de sein tendues par le push-up seins nus, je me laisse aller à une ambiance slow. Peu à peu la drague commence, et le jeu dont nous connaissons les règles débute : des mains dans mon dos, les miennes sur ses reins, mes lèvres sous les siennes, c’est une demi heure de classique, sauf que nous sommes deux garçons et que nous le savons. Oui, nous le savons, mais il me place un vrai baiser et nos langues s’emmêlent et se sucent, et je frotte ma joue si totalement rasée et maquillée contre la rugosité de sa barbe naissante, et je me laisse aller sur son épaule, comme une fille amoureuse, ou un peu saoule, et on se met à rêver ensemble ce jeu de rôles. On est sur le sofa de cuir, il m’enlève mon chemisier, a remonté ma jupe autour de la taille, et il me suce les seins, et je défais son pantalon pour atteindre son sexe. Je me penche et le prends en bouche avec des gestes très lents et nous nous ...

... allongeons tête bêche, moi sa belle queue en bouche, lui toujours après mes seins. Là, nous sommes un vrai couple hétéro, et je me sens tellement femme, que je suis un peu déçue quant il met mes dims en boule et fait apparaître mon sexe masculin, plus fin que le sien mais réel. Non je reste une femme, je me redresse, et lui assis, je lui fais une magnifique pipe comme sous le bureau du président des Etats-Unis, et comme je suis une bonne suceuse, il me laisse poursuivre, à mon idée. Bien sur, le male veut savoir dominer la situation, alors il me relève, me met à quatre pattes sur le sofa, et entame une délicieuse pénétration de ma rondelle avec sa langue, et il a l’air de s’y connaître, car je sens, je sens…. Je sens monter en moi une vague, une contraction de mon intérieur, une sensation qui me dit : ouvre toi, il va entrer en toi au plus profond, et sa langue me tourne, me rentre, et il ajoute un doigt à sa langue, et tourne le doigt, la langue est droite et raide, et voilà un deuxième doigt. J’ai très envie de lui et je le lui dis, j’ai comme envie de lui dire « je t’aime », mais c’est absurde, non ? Je l’entends mettre un préservatif, et son nœud est là, contre mon trou brun qui commence à palpiter, à battre comme un petit cœur, j’ai vraiment envie de lui dans moi. Et il entre, sans violence, mais fermement, et j’ai bien mouillé et il ne me fait pas mal. Il est au fond, j’ai ses testicules appuyés contre les fesses, et on s’attend tous les deux. Il me roule de nouveau une pelle ...