En attendant Gulliver
Datte: 15/04/2020,
Catégories:
hh,
hsodo,
Transexuels
ecriv_t,
... merveilleuse, me tends un verre de cocktail, la musique bat doucement notre rythme, et sa pénétration commence, lente, douce, mais très profonde, et je soulève mon bassin en osmose avec ses reins, et il s’enfonce et sort, revient et m’astique de plus en plus virilement, et le rythme s’accélère. Je suis maintenant vraiment baisée, et pas enculée, et ce mec me renforce dans ma sensation de fille. Mon anus est pour lui une vraie chatte, et il bat autour de sa queue, quand il fait une pause pour redemander le mouvement. Oui j’aime comme il m’encule, et je me tords pour lui tendre mes lèvres : que c’est bon son baiser !. Je me mets doucement sur le dos, mon sexe devient visible, mais il me prend de face, dans un baiser continu et il me rentre jusqu’aux yeux sa pine, Ah que c’est bon ! Cà y est, c’est parti, il me laboure comme un fauve, me défonce, grogne comme une bête, et moi, je monte, je monte, et j’explose enfin autour de cette bite qui me rend si femelle, et lui n’a fini. Il sort, quitte sa capote, et en 69, il prend ma queue en bouche et moi la sienne, et notre fellation arrive en au résultat en même temps et nos deux bouches sont remplies de nos spermes en réelle simultanéité. On reste couchés, effondrés l’un sur l’autre, et moi je déguste ce liquide : le sien est acre, je sais que le mien est moins épais, et j’apprécie la blancheur du trop plein qui me coule dans le cou. Le jazz est un peu loin, je tends la main vers le verre pour ajouter du cocktail à mon régal ...
... laiteux et je bois, l’anus palpitant. Tony m’embrasse et je récupère mon sperme sur ses lèvres, dans un long, très long baiser. Et oui Tony, tu aimes les garçons, n’est-ce-pas ? Je me renfile les dims et je danse lentement devant après avoir rajusté ma perruque : je fais une danse lascive et provocante, et reviens caresser cette belle bite qui m’a donné tant de plaisir, et je caresse tout autour, et je lui enfile une doigt lubrifié à la salive, et je lui masse l’anus, crispé, qui doucement se détend, et je le mets à plat ventre, et je pénètre sa rondelle de ma langue, et je fais monter en lui cette sensation qu’il ne connaissait pas, mais un mec, c’est un mec, et je lui donne un nouveau baiser langoureux, en le masturbant, pour finir notre soirée sur ces découvertes. Tony me donne le dernier bécot, plus amical qu’amoureux, et je refuse qu’il me raccompagne. Bye Tony, mais je pense à mardi, et à Gulliver : je ne vais pas aller à son rencard, quand même ? et en plus il a dit « on sera deux », bonjour les dégâts !! Plus j’y pense, pourtant, plus mon anus ressent de petites contractions, et je croise et décroise les jambes nerveusement, ce qui permet à mon vis-à-vis en terrasse d’apercevoir mon mini string noir qui laisse deviner qu’il est un peu petit pour ce qu’il contient, mais il faut quand même de bons yeux. Oui, j’ai dans ma mémoire de chair le pieu qui m’encule, ce pieu qui m’a pratiquement violé, et ce type qui m’a humiliée, je ne voudrais jamais le revoir, mais ma « chatte » ...