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Bondage et cuissardes de cuir (1)
Datte: 17/04/2020, Catégories: Partouze / Groupe
... accélérant, ralentissant ces mouvements, pour pousser Carine dans ses derniers retranchements. Juste avant qu’elle jouisse, je m’amusais à exciter Eric, en passant la pointe de ma cuissarde le long de sa bite, qui vibrait sous cette caresse inhabituelle. Et les cris de plaisir de Carine remplirent la chambre. Sans la laisser reprendre son souffle, je continuais à fouiller doucement sa grotte avec le gode. Mais surtout, je ne pouvais plus résister à ma propre envie de baise. Je m’installai sur le lit, en face de mon amie, nos jambes enfourchées les unes dans les autres. Nos sexes se faisaient face. L’extrémité libre du gode était dirigée vers ma fente affamée... Je la pris dans ma main pour la guider, et en quelques mouvements de mes hanches, je l’enfonçai dans mon fourreau. Encore quelques ondulations, et le gode avait disparu dans nos deux chattes, presque complètement. C’était délicieux, ce faux phallus envahissant nos ventres, et qui bougeait au rythme de mes mouvements et de ceux de Carine. L’effet était imprévisible, d’un érotisme sensuel et raffiné. Eric devait goûter le spectacle que nous lui offrions, réalisant sans doute son fantasme au-delà de ses espérances. Carine me regardait avec une expression coquine, et bougeait d’avant en arrière. Je poussais de petits cris, et je sentais le gode coulisser dans mon minou, contractant spasmodiquement les muscles de mon vagin pour décupler mon plaisir. Je fermais les yeux, et à ce moment, Carine prit mon bouton d’amour entre ...
... ses doigts. Elle se mit à le tourner, le pincer, le branler. L’orgasme venait doucement, et je soulevais mes fesses pour bouger plus facilement, emmanchée à fond sur cette verge qui ne pliait pas. J’entendis soudain Eric, toujours bâillonné, grogner de plus belle. Le visage rouge, il essayait en vain de se dégager de ses liens en se tortillant, mais c’est surtout sa queue que je regardais : tendue à l’extrême, son gland décalotté tremblait, et un long jet de sperme en jaillit brutalement. Les premières gouttes de semence s’écrasèrent sur ma cuisse, mais c’est surtout le drap qui fut maculé de foutre. Cette vision me fit perdre la tête, d’autant plus que Carine, aussi excitée que moi, se déchaînait en même temps. Un feu d’artifice éclata dans mon ventre, remontant vers ma poitrine, et je le savourais les yeux fermés, en hurlant. Carine me suivit dans l’extase, quelques secondes plus tard, de façon tout aussi spectaculaire. Essoufflées, nous nous relevâmes, et j’enlevai enfin à Eric le bâillon qui l’avait réduit au silence. — Çà t’a plu ? C’était bien ton rêve ?, lui demandai-je. — Oui !! Vous êtes formidables, les filles. Mais vous pouvez me détacher, maintenant. — Déjà ?, répondis-je. J’avais envisagé une suite. Tu ne veux pas essayer ? — Çà dépend, qu’est-ce que c’est, cette suite ?, s’inquiéta-t-il. — Avec nous, ce sont toujours des surprises. Mais si tu n’est pas prêt à nous laisser faire… — Je n’ai pas dit ça!, protesta-t-il — Carine, défais ses liens, ordonnai-je à ma ...