1. Bondage et cuissardes de cuir (1)


    Datte: 17/04/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... copine. J’étais toute excitée en pensant à ce que nous avions mis au point, toutes les deux. Carine dénoua les cordes, mais Eric resta menotté. Nous le prîmes par les bras, pour l’asseoir sur le lit, et Carine utilisa les cordes qu’elle venait de récupérer pour l’attacher aux barreaux du lit par les chevilles, jambes écartées. Ce n’est que lorsque les nœuds furent solidement serrés que je sortis la clé des menottes, pour ouvrir l’un des bracelets. Je l’allongeai ensuite sur le dos, j’accrochai le bracelet libre au barreau de la tête de lit, puis je récupérai une deuxième paire de menottes pour attacher son autre poignet, de l’autre côté. S’il n’était plus bâillonné, Eric se retrouvait mal gré tout entravé, dans une posture où il était à notre merci. — Qu’est ce que vous allez me faire ?, demanda-t-il, craignant d’être tombé sur deux adeptes du sado-maso. Nous ne répondîmes pas. Debout, Carine admirait notre proie, en prenant une pose aguichante, un pied sur le lit, exhibant sa fente humide à quelques centimètres du visage d’Eric. Pendant, ce temps, face au miroir, je délaçai le lien de mon corset, pour être plus à l’aise pour la suite. Je profitai un court instant de mon image réfléchie dans la grande glace : nue, en cuissardes, avec juste mes poignets de force et la chaîne autour de mon cou, j’étais provocante en diable. S’il s’était agi d’une autre fille à ma place, je suis certaine que je lui aurais sauté dessus immédiatement ! Eric aussi me regardait. Nous nous ...
    ... approchâmes, de chaque côté du lit, considérant son pénis, qui n’avait pas encore repris de vigueur, et nous nous assîmes. Je passai un bras autour de son cou, et mes lèvres effleurèrent sa bouche, pendant que ma main batifolait sur son ventre, ses cuisses, sa queue. De l’autre côté du lit, Carine couvrait ses épaules et son buste de baisers légers. Elle caressait les mêmes zones érogènes que moi, et nos doigts se rencontraient parfois. Nous sentions le corps d’Eric se contracter sous nos attouchements, et sa verge gonfler tout doucement. Sans nous consulter, nous étions synchrones toutes les deux, sans doute le fruit des nombreuses expériences sexuelles que nous avions vécues ensemble ! Nos bouches descendirent sur le ventre de notre «victime», convergeant vers la longue tige qui se déployait. La première je l’empoignai, je dégageai le gland gonflé de désir que je pris entre mes lèvres. Et Carine ne restait pas inactive : elle massait les boules d’Eric d’une main, tout en explorant sa fente de l’autre main, et glissant de temps en temps un doigt enduit de cyprine dans la bouche d’Eric. — On partage ?, proposai-je à Carine. — Si Eric est d’accord !, se récria-t-elle en riant. — Quelle question ! Je crois que, côté cul, vous avez encore plus d’imagination que moi ! Nos deux bouches s’activèrent aussitôt sur la superbe bite de notre amant commun. Nous la couvrions de petits baisers, de coups de langue, la suçant alternativement toutes les deux. Nous rivalisions de sensualité, c’était à ...
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