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Bondage et cuissardes de cuir (1)
Datte: 17/04/2020, Catégories: Partouze / Groupe
... celle qui l’aspirerait le plus fort, qui l’enfoncerait le plus loin dans sa gorge. Sous ces assauts, Eric gémissait et poussait de petits cris ou des grognements de satisfaction, à défaut de pouvoir nous toucher. Lorsque son sexe nous sembla «à point», je décidai de passer à des choses plus sérieuses. — A toi de te faire ramoner ta petite chatte la première, dis-je à Carine. Toute heureuse de se faire baiser, Carine vint chevaucher Eric, que je branlais doucement. Je guidai le gland turgescent vers la fente trempée de mon amie, excitant d’un doigt son petit bouton. En fermant les yeux, elle s’empala lentement. — C’est bon ? Tu la sens bien ?, lui demandai-je. — Ouiii ! Elle est bien raide… Je vais bien prendre mon pied. — Et toi, Eric, tu l’aimes, le minou de ma copine ? — Oh, oui…. C’est doux, c’est chaud, tout humide… Carine, après avoir marqué un temps d’arrêt, commença à monter et descendre sur le pieu d’Eric, en gémissant. Je m’agenouillai derrière elle, frottant ma poitrine gonflée contre son dos, et regardant Eric dans les yeux par dessus son épaule. Carine tourna sa tête vers moi, et me tendit ses lèvres. Je lui prodiguai un long baiser langoureux, en veillant à ce que Eric puisse profiter du spectacle de nos langues se cherchant. Ma main errait sur les seins de ma complice, jouant avec ses tétons dardés, mon autre main s’activait dans le bas de son ventre, tournant autour de son clitoris. Carine goûtait le plaisir de diriger l’acte sexuel avec un homme contraint à la ...
... passivité, qui devenait son jouet, tout en se faisant peloter par une fille. Elle s’amusait à varier le rythme de sa chevauchée, contractant son vagin autour du dard qui le remplissait, jusqu’à ce qu’elle se mette à accélérer, en criant. — Oh, putain !… Je vais jouir, ça vient… Qu’est ce qu’elle est bonne cette bite…. Oui, ouiiiii…. Je jouis, je jouiiiis ! tcntrrbz La voir dans cet état m’excitait, mais elle continuait de bouger son bassin sur la queue encore plantée en elle pour en obtenir un dernier frisson de plaisir, et j’attendais qu’elle se relève. Lorsque la place fut libre, je vins sur Eric, qui heureusement bandait toujours comme un taureau. Je pris dans ma main sa bite, enduite de la sève de Carine, et je l’amenai à l’aplomb de ma grotte. Les yeux mi-clos, je m’emmanchai sur le gland imposant, savourant cet instant où je le sentais écarter mes petites lèvres, ouvrir ma fente, et s’enfoncer dans mon minou. Carine s’était agenouillée aussi, au dessus du visage d’Eric, dont elle massait sensuellement le buste. Le malheureux était soumis à un véritable supplice de Tantale : une nana était en train de s’enfiler sur sa queue, une autre exhibait son abricot luisant de mouille à vingt centimètres de son visage, et il ne pouvait toucher ni l’une ni l’autre. Moi aussi, la situation m’excitait. J’allais et venais sur le pieu de mon partenaire à une cadence effrénée, me penchant en avant, en arrière, pour varier mes sensations, astiquant mon petit bouton avec rage, maltraitant ...