1. Le désir


    Datte: 22/04/2020, Catégories: fh, ffh, couple, couplus, amour, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral fgode, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo,

    ... D’autres essaient de s’accoupler, ont du plaisir, mais gardent toujours des éléments dissonants, c’est notre cas. » Je tente de protester, elle me fait taire d’un geste gracieux. « Par exemple : la musique classique ne te convient pas vraiment ! Elle te plaît parce que je la joue nue, avoue que ce n’est que mon sexe qui t’attire, et ceci dès le début. Voilà un motif de discorde futur… Avec Roberta, je pense que tu n’auras pas une surprise pareille, m’affirme-t-elle. Vous êtes faits l’un pour l’autre ! » Le jugement est sans appel. Il ne me reste qu’à m’incliner. Nos six semaines de vie commune, avec Marion, m’ont inspiré une réflexion profonde et une aspiration à un peu de calme et de stabilité. C’est dans cet esprit que j’avise Roberta de mon accord à un engagement de vie commune. Nous convenons d’un rendez-vous pour un repas "en amoureux" dans un restaurant sympa. Nous définissons les modalités de notre mariage et Roberta m’annonce une exigence insensée : « J’aimerais que nous ne consommions pas ...
    ... notre mariage avant la nuit de noce…! Je désire rester "vierge" de toi avant l’officialisation de notre liaison…» Je reste muet, une minute, vide de réflexions et m’entends dire d’une voix monocorde : « Ok, tu es ma maîtresse, dans tous les sens du terme. » Trois mois plus tard, nous nous sommes mariés. Sans avoir fait l’amour, mais gardant à l’esprit les possibilités infinies de jouir de nos sexes. — ----- J’écris ce texte six ans après notre mariage, père de deux enfants de cinq ans et trois ans, et témoignant d’une rare complicité sexuelle ma femme. Roberta vient de lire ma confession, elle réfléchit et lance, cinglante: « Tu ne te corrigeras jamais de ton voyeurisme de photographe ! » Elle ajoute aussitôt : « J’ai apprécié tes descriptions, tu exagères quelque peu la vérité, certaines parties sont aussi ennuyeuses qu’"Emmanuelle", d’autres aussi irréelles qu’"Opus Pistorum" de Henri Miller, mais je t’aime. » La partie de jambes en l’air qui suivit fut encore une fois intense et mémorable. — ----- 
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