Le jeu de Maribel
Datte: 24/04/2020,
Catégories:
fh,
couplus,
essayage,
Collègues / Travail
fsoumise,
hdomine,
humilié(e),
cérébral,
Oral
fdanus,
sm,
yeuxbandés,
fouetfesse,
tutu,
... incident, nous comprîmes qu’il était temps que Maribel elle-même lève l’ambiguïté que J. entretenait, et que sous mon contrôle, elle s’offrît à lui. C’est ainsi que nous en arrivâmes à imaginer un jeu où Maribel ouvrirait la brèche, puis céderait à ses avances. Le lundi matin, J. demande à Maribel de l’accompagner faire une course dans un magasin de fournitures. Depuis le début de la matinée, ses regards s’étaient faits plus insistants et Maribel avait laissé paraître une ouverture. Entre deux rayons, il vient se placer derrière elle alors qu’elle ne s’y attend pas, la coince un instant en la collant et la serrant à la taille. Maribel se laisse faire, et cambre franchement sa croupe en laissant échapper un subtil gémissement avant de se dégager. Puis, sur le chemin du retour vers l’atelier, ils parlent ouvertement de ce qui vient de se passer, et J. lui demande de rester à cinq heures après le travail. À la pause du déjeuner, Maribel m’appelle pour me demander ce qu’elle doit faire. A-t-elle envie de passer à l’acte ? Elle me répond que oui. Je me sens très troublé, un mélange d’excitation et de peur, et finalement, nous décidons de tenter l’expérience. Quand vient cinq heures, l’inquiétude m’envahit en même temps qu’un violent désir. Je me représente ce qui est en train de se passer, là-bas, entre cet homme que je ne connais pas et Maribel qui s’offre à lui par notre commun accord. Un vertige, une sensation violente et forte me saisissent à imaginer celle que j’aime dans la ...
... situation que nous avons élaborée. Vers 6 heures et demi, coup de téléphone. Maribel me dit de venir la rejoindre chez elle. Elle me racontera tout. Je sors du métro, l’appelle un instant, lui ordonne de quitter sa culotte et de m’attendre dans sa chambre. Je veux qu’elle sente que c’est bien à moi qu’elle appartient, que le jeu se poursuit, que j’en suis le maître. Lorsque je la rejoins enfin, elle m’attend, obéissante, sur son lit, le regard sombre. Je la prends tendrement dans mes bras et lui demande de me raconter ce qui s’est passé, dans tous les détails. — Une fois toutes les stagiaires parties, restée seule avec J., j’ai dû descendre dans la pièce du bas, en sous-sol. Il est remonté quelques instants, je ne sais pas bien pourquoi, sûrement pour fermer la boutique et ne pas être dérangé… J’imagine ce que tu ressens à ce moment-là. Tu te rappelles ce qu’il t’a dit à midi, lorsque vous avez parlé en rentrant de la course. Que tu lui seras totalement soumise, et que ce sera un jeu, mais qu’il devra se montrer plus dur encore qu’à l’atelier, et que tu lui obéiras. Tu te sens tout à coup fragile, vulnérable, presque inquiète, mais curieuse de ce qui va se passer. Tu sens déjà un plaisir qui te parcourt, celui de devoir te soumettre au désir de J., et celui de savoir que cela arrive parce que c’est notre jeu et que c’est pour moi que tu t’abandonnes à lui. Alors, les choses ont commencé vraiment. — J. s’est placé derrière moi et m’a serrée contre lui, insistant sur ma taille ...