Le jeu de Maribel
Datte: 24/04/2020,
Catégories:
fh,
couplus,
essayage,
Collègues / Travail
fsoumise,
hdomine,
humilié(e),
cérébral,
Oral
fdanus,
sm,
yeuxbandés,
fouetfesse,
tutu,
... revient à la charge. Je te demande si tu as envie de continuer. Tu es un peu hésitante et me dis que oui, peut-être. — Tu devras rester, alors, et tu pourras aller un peu plus loin. Tu pourras prendre son sexe dans ta bouche, mais il ne devra pas te pénétrer, te dis-je car il ne faut pas que le jeu aille trop vite. À 14 heures, tu m’appelles en me demandant ce que tu dois faire car J. t’a priée de rester. Tu sembles encore hésitante, mais je sens qu’au fond tu en as très envie. Je te sonde pour en être sûr, j’insiste pour repréciser la règle, le fait que J. doit être conscient qu’il ne s’agit que d’un jeu, et qu’à ton retour, tu seras peut-être contrainte de te donner à moi. Vers six heures et quart, tu m’appelles de nouveau pour me dire que tu es sortie avec toutes les stagiaires que tu as laissées au coin d’une rue… et que tu y retournes. Quelque chose à ce moment-là me met mal à l’aise. Dans ta façon de dire "J’y retourne", il y a une détermination inhabituelle, et surtout l’impression que tu y vas pour retrouver J., mais comme si notre propre jeu ne comptait plus vraiment. Je te demande de ne pas rester trop longtemps, de m’appeler dès que tu sors ; je me sens inquiet. Vers 8 heures, après deux heures qui m’en parurent dix, tu m’appelles enfin. Je t’attends et tu rentres pour me raconter. Cette fois là, J. avait compris qu’il pourrait faire de toi ce qu’il voudrait. Que tu n’opposerais aucune résistance à ce qu’il pousse plus loin la "séance". Le ton était bien le même ...
... que la première fois, mais plus affirmé encore : tu devais obéir. La règle que je t’avais fixée a vite volé en éclat face à l’emprise de ton maître de l’instant. Je te pardonne cet écart. Sur son ordre, tu te déshabilles, puis entièrement nue, tu dois attendre seule quelques minutes. La fraîcheur de la pièce pénètre ta peau. Cette attente t’excite. Tu mouilles. J. revient alors avec un bandeau qu’il place sur tes yeux. Il te promène dans la pièce pour que tu perdes tes repères. Ses mains effleurent la peau soyeuse de ton ventre, caressent ton dos, frôlent la touffe de ton pelvis que tu n’épiles que partiellement. Puis soudain, serrant dans sa poigne tes cheveux derrière la nuque, il te force à t’agenouiller. Rapidement, son sexe dur pénètre ta bouche. Tu es déstabilisée par cet assaut soudain. Il ne t’y a pas préparée. Il n’a pas pris le temps de quelques caresses, de quelques mots doux comme la première fois. Non, tu n’es pas "délicieuse", c’est comme une chose qu’il te veut cette fois-ci. Comme un objet pour son seul et égoïste plaisir. Il se plaît à s’enfoncer profond dans ta gorge. Tu dois le sucer vigoureusement. Tu me dis que cela a duré très longtemps, que J. prenait un grand plaisir à cela. Tu dois te mettre à quatre pattes, te cambrer le plus possible. J. insiste sur ta cambrure, il te demande plus, plus, oui, plus encore. Voilà, la croupe relevée, appuyée sur les coudes, tête au sol, tu es dans la position de soumise qu’il attend. Il te veut dégradée, obscène. C’est ...