Le jeu de Maribel
Datte: 24/04/2020,
Catégories:
fh,
couplus,
essayage,
Collègues / Travail
fsoumise,
hdomine,
humilié(e),
cérébral,
Oral
fdanus,
sm,
yeuxbandés,
fouetfesse,
tutu,
... et mes fesses… Ce jour-là, tu as ta robe noire, un peu stricte et austère qui te rend d’autant plus désirable. J. la soulève et te fait asseoir devant lui. Il descend ton string de soie rouge. Sans doute en le faisant, effleure-t-il d’un doigt déjà ta fente qui doit être humide, et se recule pour regarder. Il te parle crûment, t’ordonne de te caresser, mais flatte aussi ta beauté. Tu aimes cette situation, car tu as décidé de faire tout ce qu’il te dira, de te laisser entraîner sur ce chemin inconnu, sans résistance. Il se met alors à genoux devant toi et, avec sa langue, commence à goûter le moelleux de la vulve que tu lui offres. Il te dit que tu es délicieuse. Ses doigts massent ton visage et s’égarent dans ta bouche pour que tu les suces. Ta main s’enfonce dans l’avant de son pantalon pour que tu tâtes son sexe, mais tu aimes qu’il soit resté habillé alors que tu es, toi, à moitié nue. Ainsi, tu te sens plus offerte, plus vulnérable. Vient le moment où il te fait lever et t’amène jusqu’à une table. À ce moment-là, il t’a déjà mise nue, entièrement. Tu dois te pencher sur la table, debout en L, la croupe vers lui, les fesses et tes deux petits trous à sa disposition. Il use de sa langue et de ses doigts pour les explorer. Il t’ordonne de te cambrer, creusant d’une main le bas de ton dos. Comme si tu n’obéissais pas assez vite, il te claque les fesses, fort parfois, jusqu’à bien chauffer ta peau qui se gorge de sang. Puis, ses mains fouillent de plus en plus violemment tes ...
... orifices. Sa langue aussi doit te savourer goulûment alors qu’il écarte bien tes fesses laissant bien paraître ton entre-rein. Il s’arrête parfois, pour te contempler, savourer ta position de parfaite soumise. Puis, dans l’anus il insiste, enfonçant plusieurs doigts et te fait crier. Intense plaisir ou douleur ; il tient sa main devant ta bouche pour étouffer tes cris. Tu aimes sa contrainte, te sentir totalement abandonnée à sa force. Tu aimes sentir ses mains chaudes parcourir vigoureusement ton corps, s’attarder dans les creux, effleurer parfois comme un frisson ta peau en sueur. Tu aimes ses doigts qui se retournent en toi, ses doigts qui te font hurler quand le mouvement se fait trop puissant et rapide, alors que tes cheveux dans sa poigne sont tirés fort, en arrière. C’est brusquement que le jeu s’arrête, peut-être parce que tu ne veux pas tout abandonner de toi cette première fois, que tu es allée au bout de ce qui était possible à cet instant. Tu te rhabilles et t’échappes pour bientôt me rejoindre. Lorsque tu me fais ce récit, je ne cesse de te caresser et de lécher ton sexe. Je me sens fou d’amour pour toi, et de désir. Mais au moment où j’aimerais te prendre, je vois qu’un trouble est monté en toi. Tu resteras sombre toute la soirée, comme si tu n’assumais pas ce qui s’était passé. Le lendemain matin, tu es inquiète d’aller travailler, et décidée qu’il ne se passe rien avec J. ce jour-là. Le surlendemain, avant de partir, tu me demandes ce que tu dois faire si J. ...