1. la ferme de Paul


    Datte: 01/05/2020, Catégories: Gay

    ... jamais vu d’aussi grosse, et aussi longue !En me retournant, je vis Albert qui regardait aussi Ponpon. Il s’approcha du cheval, lui donna un petit coup de pied sur le sexe qui remonta doucement et continua :- La jument de Marcel doit être en chaleur, il va falloir que Paul l’amène pour le soulager.Paul arrivait de la pâture avec les vaches pour la traite. Son père lui dit que Pompon bandait, qu’il fallait demander à Marcel si sa jument est en chaleur. Paul dit qu’il s’en occuperait. Devenu plus habile pour traire, je pouvais m’occuper seul d’une vache, ce qui aidait un peu les parents de Paul qui souvent partaient alors qu’il restait une ou deux vaches à traire. Ce fut le cas ce jour là. Une fois terminé, je demandais à Paul où je pouvais pisser pendant qu’il rassemblait les seaux.- Où tu veux, un peu plus ne se verra pas.Je me positionnais un peu en retrait de deux vaches pour pisser dans le caniveau. La lumière éclairait toujours l’étable. Je défis le bouton de ma ceinture et les trois boutons de ma braguette, ouvrant largement mon short pour baisser l’élastique de mon slip et sortir ma queue et mes boules. Je me décalottais entièrement pour envoyer les jets de pisse. A la fin, je fis coulisser mon prépuce trois fois en secouant ma queue pour évacuer les dernières gouttes. Pendant ce temps, je vis Paul faire des vas et viens pour sortir les seaux.Une fois dehors, je remarquais un renflement le long de sa cuisse. Je ne sais pourquoi, je me suis entendu dire :- Tu es dans ...
    ... le même état que ponpon !et de l’entendre me répondre :- c’est de ta faute.Le soir dans mon lit, en caressant mon sexe bien dur, je repensais à la réponse de Paul. Je lui faisais donc de l’effet, tout comme il m’en fait. Je continuais à me branler doucement comme j’aime le faire, sentir la peau de mon prépuce coulisser doucement sur mon gland, passer juste derrière le collet, puis tirer davantage pour le dégager entièrement. Je restais quelques instants ainsi à regarder mon dard, puis recommençais jusqu’à ce que le jus sorte et coule le long de ma verge, sur mes boules. Je m’essuyais sur mon slip dont je savais qu’il serait changé le lendemain. Ensuite, je m’endormais paisiblementLa fois suivante, Paul me dit qu’il avait contacté Marcel, que sa jument était bien en chaleur, qu’il pouvait venir avec Ponpon pour la saillir.- Si tu es libre après demain après midi, tu peux venir avec moi, tu verras comment cela se passe.- Super ! je n’ai pas cours.Après avoir pris congé de la famille, je rentrais à la maison. Comme à chaque fois, je prenais une douche avant de me mettre en pyjama. Dans mon lit, j’essayais d’imaginer comment un tel engin pouvait entrer dans une jument.Le jour venu, j’étais à l’heure pour le grand départ et j’avais décidé de ne pas porter de slip sous mon short. Paul me demanda si j’étais déjà monté sur un cheval. Je lui répondis :- jamais !- N’aie pas peur, Ponpon est un cheval super docile, même si ces temps ci, il est un peu nerveux. Je vais t’aider. Prends la ...
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