la ferme de Paul
Datte: 01/05/2020,
Catégories:
Gay
... dernière vache. Va le voir.En me voyant arriver, Paul se releva pour m’embrasser et me dire bonjour. Toujours vêtu de la même façon, il me dit.- Tu arrives juste pour essayer de traire la dernière. Assieds-toi sur le tabouret, mets le seau entre tes jambes et je vais te montrer.Paul se positionna derrière moi, se pencha pour prendre mes mains et les poser sur les trayons de la vache. La sensation de tenir ces trayons doux et chauds me faisait penser à mon sexe. Je suivais les mouvements de pression en tirant vers le bas que me montrait Paulpour faire sortir le lait. Cela me plaisait de sentir le corps de Paul peser sur moi.Se détachant de moi, je vis Paul se diriger entre deux vaches. Il fit glisser les bretelles de sa salopette qui glissa sur ses cuisses. Je voyais entièrement son torse recouvert de poils qui descendaient jusque sur son ventre. Il ne portait donc pas de slip sous sa salopette. Il dégagea son sexe et ses boules de la salopette. Il avait beaucoup de poils noirs. Je pouvais voir Paul presque entièrement nu grâce à la lumière que laissait passer le soupirail. Avant qu’il ne saisisse son sexe, je pouvais le voir pendre sur ses testicules poilus. Il était ni trop gros, ni trop épais, ni trop long. Il se décalotta le bout du gland pour commencer à pisser. J’avais arrêté de traire, tellement absorbé par le spectacle qui se déroulait devant moi. Je voyais un homme superbement musclé, des poils sur tout le corps et les cuisses. Cette vision avait provoqué une ...
... érection tellement forte dans mon short devenu trop petit que cela me faisait mal. Après avoir expulsé les derniers jets d’urine, il découvrit entièrement son gland pour faire tomber les dernières gouttes en le secouant. Il se rhabilla puis revint vers moi. En voyant le peu de lait que j’avais obtenu dans le seau, Paul me dit :- Tu n’as réussi à tirer si peu de lait ? Ma parole, tu ne l’as pas trait, tu l’as branlé !Paul prit ma place pour finir de traire la vache. J’étais debout à côté de lui. Il ne pouvait ne pas voir la bosse de mon short au niveau de ma braguette.Sur le chemin de retour, j’avais toujours en tête l’image de Paul en train de pisser, sa queue, ses boules, ses poils. Arrivé à la maison, je montais vite dans la salle de bain pour prendre une douche, car mon slip était mouillé. En le retirant, je vis qu’il était plein de sperme. J’avais joui en regardant Paul. Un fois sous l’eau, je caressais mon sexe, le comparant à celui de Paul. Certes, il était plus petit, les boules moins grosses, surtout moins poilu. Je m’amusais à me décalotter à fond. Les vacances approchaient, le soleil devenait de plus en plus chaud. Les cours étant plus espacés, je passais de plus en plus de temps à la ferme pour aider et surtout voir Paul.Un après midi, Ponpon était attaché dans la cour. Je restais figé en voyant son gros sexe à presque toucher le sol. Je ne pouvais imaginer un tel engin. Soudain une voix roulant les « R » avec un fort accent béarnais me sortit de mon extase :- Tu n’en a ...