la ferme de Paul
Datte: 01/05/2020,
Catégories:
Gay
... crinière avec tes deux mains, tire bien.- Il n’y a pas de selle ?- Pas besoin, cela s’appelle monter à crue. Au moment de m’élancer, je sentis une main de Paul me pousser sur les fesses, l’autre écarta ma jambe pour enjamber l’encolure de Ponpon. Sa main glissa le long de ma cuisse, passa par la jambe de mon short pour aller toucher mes boules. Paul me suivit. Nous étions collés l’un à l’autre. Je sentais le corps de Paul contre mon corps. Je me sentais en sécurité. Pompon partit doucement au pas. Je trouvais le mouvement très agréable avec les jambes écartées contre celles de Paul.Après une bonne demi-heure de marche, nous voilà arrivés dans la cour d’une grande ferme. La jument était déjà attachée à l’anneau du mur. Ponpon devenait de plus en plus agité. Paul dû le rappeler à l’ordre. Paul descendit le premier pour tenir Ponpon afin que je descende à mon tour. Paul me dit de mettre mes deux jambes du même côté et de sauter. Je passais ma jambe droite par-dessus l’encolure du cheval en la relevant suffisamment haut pour que Paul puisse voir mes boules.Un homme vint nous accueillir. Paul fit les présentations. Il s’agissait bien du fameux Marcel. Blond comme les blés et frisé comme un mouton, plus trapu que Paul, mais tout aussi musclé. Lui aussi était vêtu d’une salopette à même la peau. Aussitôt, j’imaginais qu’il ne portait pas de slip. Paul et Marcel se firent une accolade chaleureuse.De son côté ponpon avait sorti son chibre qui paraissait encore plus énorme qu’à la ...
... ferme. Paul l’approcha de la jument que Marcel appelait Frisette. C’était la même race que Ponpon qui se colla au cul de la jument. Sa bite était devenue si dure qu’elle touchait son ventre. Soudain il se cabra, posa ses pattes avant sur le dos de la jument, et brutalement enfonça d’une seule traite son membre dans la chatte de Frisette qui bougea à peine. Après deux vas et viens saccadés, Ponpon se retira. Son sexe encore bien grand dégoulinait de sperme. Les deux bêtes semblaient soulagées, plus calme.Après la saillie, Marcel nous proposa de boire un coup. Dans la grande pièce, une longue table trônait. Nous nous sommes assis. Dans la conversation, Marcel demanda à Paul s’il allait faire comme les autres fois. Ce à quoi Paul répondit qu’il fallait ça pour détendre Ponpon. J’écoutais attentivement tout en repensant à la rapidité de la saillie avec un tel membre. Il y avait comme du gâchis.En remontant sur le dos de Ponpon, j’espérais que Paul m’aide de nouveau et passe sa main dans mon short, ce qu’il fit. Sur le chemin du retour, je demandais à Paul ce que voulait dire Marcel. Il me répondit qu’après un tel effort, il devait emmener Ponpon dans un pré pour qu’il se détendre et broute de la bonne herbe. Personnellement, je ne trouvais pas qu’il ait fait un gros effort. Après avoir trotté à travers des chemins bordés de haies, si étroits que nos jambes se faisaient griffer, nous sommes arrivés dans dans un grand pré. On ne voyait plus aucune habitation. Paul attacha Ponpon à un ...