Une conséquence du Jeu de la Statue
Datte: 03/05/2020,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
cérébral,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
Oral
pénétratio,
attache,
totalsexe,
... complètement. Il le hume longuement. — Ta chatte sent bon, elle sent la baiseuse. Puis son regard se fixe, il prend son temps pour contempler. Je suis toujours fixée au chambranle. — Oh nom de dieu, ce trésor ! Et ticket de métro ! T’as un cul splendide, me dit-il. Ta colline est superbe ! On ne va pas cacher ça avec un slip. Confisqué, me dit-il. Tu passeras l’après-midi avec la chatte à l’air ! J’ai dit ! Répète-le !— Oui… oui… je passerai l’après-midi avec la chatte à l’air. J’en suis effrayée. Si on le remarque, au bureau ? J’ai peur que tout le monde me regarde, cet après-midi, comme si chacun savait. — Et maintenant, tu demandes au sculpteur de te branler. Demande !— Sculp… (J’ai la voix étranglée) Sculpteur, bran… branle-moi. Ah le salaud ! Qu’est-ce qu’il sait y faire, qu’est-ce que c’est bon ! Du bout des doigts, savamment, par mouvement circulaires sur le clito, ou par titillements rapides avec le bout du majeur, la main retournée. Mais j’arrive toujours encore à me contenir, j’y mets un point d’honneur… tout en n’y croyant plus. Mais faire durer le supplice, c’est encore faire durer le plaisir. Encore ! En… core ! Oh, mais que fait-il ? Il va pas… ? Si ! Il se met à genoux et approche sa bouche. Ses lèvres sur ma chatte, sa langue qui glisse sur la fente puis s’attaque au clito. Je deviens folle, je vais… je vais craquer ! Tant pis si je perds mais surtout, qu’ensuite, il me mette son dard, qu’il m’explose… qu’il… Horreur ! La sonnerie de mon portable ! Impossible ...
... d’y couper, trop important. C’est mon médecin, comme convenu, pour les résultats de l’analyse. Je l’avais oublié, celui-là… Et, forcément, le jeu s’arrête net. Je prends le portable, ça ne dure pas longtemps. J’apprends que tout est OK pour les analyses, mais le toubib me fixe quand même un rendez-vous. Mon sculpteur s’est redressé. Il attend la fin de la communication puis me montre ma culotte. — On reprendra ça plus tard. Je sais que tu vis seule et je sais où tu habites. Je débarquerai chez toi pour te rendre ta culotte. Je vais te faire craquer, tu verras, et ensuite je te casserai l’entrejambes. Et je veux que tu te comportes alors en vraie déesse du sexe. Je n’ai pas la force, ni l’envie de protester. L’après-midi, c’est l’horreur. J’ai l’impression que tout le monde est de connivence, que tout le monde me guette. Je serre mes jambes, comme pour cacher. Mais pas seulement pour cacher, je dois bien l’avouer… Je coince ainsi mon sexe entre mes cuisses et roule mes lèvres l’une contre l’autre en frottant mes genoux entre eux. Une abondance d’images défile dans ma tête, avec plein de rappels de sensations. Je revis la scène du midi. Ses mains qui m’ont empaumé les seins, et agacé les pointes, qui englobent mes cuisses, remontent la jupe et m’enlèvent le slip. Son regard émerveillé pour ma chatte, puis ses doigts… ses doigts qui caressent, qui suivent ma fente et attaquent mon clito. Ce qu’il me faudrait maintenant, illico, c’est une queue, une énorme queue bien dure que je ...