1. Une conséquence du Jeu de la Statue


    Datte: 03/05/2020, Catégories: fh, Collègues / Travail cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation Oral pénétratio, attache, totalsexe,

    ... drap. Je sens mon visage se crisper de plaisir et je gémis à chaque coup de bite. Fabuleux ! Le salaud me défonce comme une poupée de chiffon, sa brutalité multiplie d’autant mon plaisir qui gonfle, qui enfle, qui éclate en un nouvel orgasme feu d’artifice. Jamais je n’avais joui à intervalles aussi rapprochés. Je m’affale sur le ventre, j’ai l’esprit en compote, je continue à gémir… — Ça t’a aimé, ma tendre salope, baiseuse, vicieuse ! Attends, je n’ai pas fini. Tu veux encore la bite ?— …— Réponds, tu veux encore que je te défonce ?— Oui… oui… encore…— Demande la bite ! Dis que tu veux la bite !— Oui, la bite !… s’il te plaît, la bite… encore… encore… Je veux la bite ! Il me retourne sur le dos, m’écarte un peu les cuisses et relève mes genoux contre mes épaules puis m’enserre de ses deux bras. Je suis littéralement plaquée, coincée à en étouffer entre le matelas et lui. Là, je ne peux plus rien, je suis sa chose, ma chatte trempée est le jouet de sa queue. J’attends le supplice avec délice. Il me pénètre avec une brutalité inouïe, mais je ne ressens aucune douceur, sinon un plaisir divin. — ...
    ... Tu l’aimes quand tu l’as à fond ? T’aimes ça ? Dis-le ! Et il se déchaîne en me pistonnant à mort. — Dis-le !— Oui… oui… j’aime ça ! Oui… Mets-la au fond !… défonce moi, salaud !… défonce-moi… casse-moi le cul ! Oooooooooh que c’est boooooon. Vas-y, salaud, vas-y… plus fort… encore… encore plus fort ! Oui… comme ça… aaaahhh ! Je hurle sans retenue. Il me regarde droit dans les yeux : — Et le sperme ? Tu aimes le sperme ?— Ah ouiiii… ah ça, oui… j’aime le sperme.— Et tu l’aimes où ? Je te le gicle où, baiseuse ?— Dans la chatte… salaud, dans la chatte !… Vas-y, fous-moi le sperme !… Le sperme, salaud… Ouiiiiiii… gicle-moi tout le sperme. Il accélère encore et d’un coup se contracte, m’étouffant entre ses bras. Je sens la giclée qui m’inonde les entrailles, des jets rageurs qui me projettent au septième ciel. Je perds la notion des choses. Je ne suis plus qu’une chatte avide de bite et de sperme qui vient de connaître la félicité absolue. Il se retire en me caressant et me sourit : — Je parie que tu es à nouveau capable de jouir si je te bouffe le minou ! Et sa tête s’engouffre entre mes cuisses… 
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