Une conséquence du Jeu de la Statue - Histoires de Sexe

Une conséquence du Jeu de la Statue

... jusqu’au seuil de l’autre pièce. Je ne résiste pas, je suis comme hypnotisée et je sens d’emblée qu’il pourra faire de moi ce qu’il veut. Et mon mauvais démon qui me murmure :« Oui, mais ce qu’il veut, c’est aussi ce que tu veux toi… ! » Il saisit mes mains et les pose sur le chambranle. Puis m’annonce : — Tu croyais y couper ?— À quoi ?.. hasardé-je d’une voix étranglée.— Tu sais très bien de quoi je parle. Le jeu de la statue.— Mais t’es fou ? Puis d’une toute petite voix : Pas ici, pas maintenant… Non, je t’en prie… Non… Il prend mon visage entre ses mains et plante son regard dans le mien. Je fonds. — Tu es la statue, je suis le sculpteur. Tu ne bouges plus de là, tu ne changes pas de position et tu ne parles que si je te le demande. Il approche son visage du mien et me murmure : — Sinon on ne jouera pas. Maintenant, tiens-toi tranquille. On va vérifier si tu es aussi sûre de toi que dans tes mails. Il me caresse d’abord la nuque, puis passe à mes seins. Il les pétrit longuement avant d’agacer mes mamelons en les roulant entre ses doigts. Ma fièvre monte en flèche, je me force à ne rien laisser paraître. Ses mains entourent ensuite ma taille et descendent sur les hanches puis glissent le long de l’extérieur de mes cuisses, il s’accroupit et descend jusqu’aux chevilles. Mais j’anticipe déjà, je sais ce qui va suivre… Je ferme un moment les yeux lorsqu’enfin elles remontent. Elles s’arrêtent à mi-cuisses pour agripper la jupe étroite qu’il tire lentement vers le haut. ...

... Il la rabat sur mon ventre et mes reins. Il s’arrête un moment pour admirer le tableau de sa victime, offerte en slip à son regard. — Tu as une magnifique chatte bien bombée. Tu crois qu’elle va aimer les doigts du sculpteur ? Je ne réponds pas, je ne pourrais parler. Je ne crois pas que j’aurais encore de la voix, tant j’ai la gorge nouée. Je n’ai plus qu’à me laisser faire, mais je ne veux ni moufter ni bouger ! Il ne m’aura pas si facilement. — Tu aimes, quand un homme t’enlève le slip ? Mais si, tu aimes ça, n’est-ce pas ? Sa voix est douce et veloutée ! Bien sûr, crétin, que j’aime quand un homme m’enlève le slip. Quelle femme n’aimerait pas ! Qu’est-ce que tu attends ! Eh bien non ! Monsieur fait durer le plaisir. Il me caresse le bombé de la chatte, et salaud de salaud, me pince les lèvres à travers le sous-vêtement pour coincer mon clito et le rouler entre ses doigts. Ça, c’est redoutable ! C’est horrible ! J’ai un mouvement involontaire de bassin. — Non, tu ne bouges pas ! Interdit de tricher ! Il accélère encore le mouvement de ses doigts. Je veux serrer les cuisses, il me les maintient ouvertes. C’est fou, c’est trop bon. Noooooon ! Non ! Pas céder ! Il faut que je tienne ! Que je tieeeeenne ! Je sens que de l’humidité dans ma culotte. Il s’en aperçoit aussi. — Pour quelqu’un qui ne veut pas réagir, je trouve que tu mouilles beaucoup ! Je parie que tu es trempée. Attends, on va vérifier ça… Alors, le salaud me tire lentement le slip vers le bas et me l’enlève ...