Douanière zen
Datte: 05/05/2020,
Catégories:
fh,
asie,
uniforme,
sport,
forêt,
Collègues / Travail
amour,
fdomine,
cérébral,
intermast,
pénétratio,
jeu,
init,
humour,
... bouillant, l’odeur des plantes qui nous entourent, le son de l’eau qui coule dans une petite fontaine au coin de la pièce, la douceur de la soie sur la peau nue… C’est une étrange manière de se découvrir. Nous nous rapprochons pourtant peu à peu, nos gestes se correspondent, nos regards se parlent, son visage laisse transparaître une sensation de confiance et de bonheur. Tout ce que son uniforme et ma carapace de brocanteur empêchaient a disparu. Nous sommes démasqués, ouverts à une découverte plus intime. Soudain, elle se lève et va chercher deux sabres de kendo accrochés à la paroi du salon. Elle les sort de leurs gaines et d’un geste sec les plante dans le plancher à quelques centimètres l’un de l’autre, le tranchant dirigé vers l’intérieur de l’étrange portique d’acier ainsi formé. Avec des gestes mesurés, elle détache sa ceinture et fait glisser son kimono à terre. La beauté de son corps finement musclé me laisse interdit. Tout en elle est harmonieux, délicatement dessiné, parfaitement galbé. D’un pas léger, elle s’approche des sabres et s’allonge sur le sol, face à moi. Elle écarte largement les jambes et les étend des deux côtés des lames étincelantes, offrant à mes regards sa sombre toison et les plis de sa vulve. Fermant les yeux, elle glisse son entrejambe de plus en plus près de l’étroit espace qui sépare les armes. Je commence à comprendre avec effroi ce qu’elle attend de moi. C’est visiblement une flèche très particulière qu’elle entend accueillir dans sa ...
... cible. — Viens maintenant, ne crains rien, l’union de la flèche et de la lame révèle sans doute des plaisirs insoupçonnables… Je suis sans défense face à cette femme incroyable. Son envie d’elle me fait perdre toute prudence, d’autant que, dans l’état de manque dans lequel elle m’a plongé depuis des jours, je me sais incapable de résister. À mon tour, je laisse tomber le kimono. Ses regards en disent long sur l’envie qui devait la tarauder pendant que nous buvions le thé. Sa vulve est déjà béante et laisse échapper une liqueur abondante. Je m’agenouille face à elle, les cuisses des deux côtés du portique diabolique. Malgré la crainte de ce qui m’attend en cas de faux mouvement, j’avance mon bas-ventre le plus près possible d’elle, de manière à placer ma verge bandée exactement entre les deux lames. Elle me tend la main et, me rassurant du regard, elle m’aide à me rapprocher plus encore. Je me lâche et décide de lui faire entièrement confiance. Mon envie d’elle est de toute façon déjà bien trop forte pour refuser son offrande. Gardant mes yeux plongés dans les siens, je franchis les derniers centimètres qui séparent la pointe de ma verge de l’entrée de sa grotte. Mes cuisses font le grand écart et s’appuient sur la partie extérieure et arrondie des lames. Puissent-elles ne pas se rapprocher à notre insu… Son corps est entièrement offert à la jouissance que ce jeu lui procure. J’essaie de graver en moi la position exacte que je dois garder pour la pénétrer sans glisser de côté. Si ...