1. Douanière zen


    Datte: 05/05/2020, Catégories: fh, asie, uniforme, sport, forêt, Collègues / Travail amour, fdomine, cérébral, intermast, pénétratio, jeu, init, humour,

    ... j’atteins la même maîtrise de mes gestes que lors du tir à l’arc, je devrais arriver à la combler sans me vider de mon sang. Spontanément, ma respiration prend le rythme naturel qu’elle a lors de la préparation au tir. Je sens le vagin de Nathalie entourer mon gland et l’aspirer au-dedans d’elle. Elle s’est rapprochée encore un peu de moi. Son sexe trempé de désir forme un brûlant capuchon autour de la pointe de mon membre. Entièrement concentrée sur les sensations que lui procure notre union à haut risque, elle commence à contracter les muscles de son vagin autour de ma tige. Tout en moi suit son rythme, s’adapte aussi étroitement que possible à ce qui anime son corps. Elle murmure des mots très doux, caresse lentement les pointes de ses seins, tant pour se donner du plaisir que pour me faire bander encore plus et la pénétrer encore mieux. Ce qu’elle m’offre me fait oublier dans quelle guillotine se trouve ma queue dangereusement gonflée de sang. Toute la semence accumulée ces derniers jours se concentre en un point de mon ventre, prête à s’échapper voluptueusement. Notre échange devient de plus en plus intense. Des vagues de plaisir me parcourent et vont se prolonger dans son vagin. Un impérieux va-et-vient anime mes hanches, qui fait entrer et sortir mon sexe de quelques centimètres dans la chatte de Nathalie. Elle se laisse longuement exciter par cette discrète pénétration. Puis elle arrive habilement à glisser sa main entre les sabres et à caresser le dessous de ma ...
    ... queue, préparant mon canal distendu à cracher toute sa sauce. Finalement, elle pose ses doigts sur la tige turgescente, la protégeant d’un soubresaut fatal, au moment où elle la fait délicatement glisser hors d’elle. Basculant encore plus son bassin pour mieux s’offrir, elle se caresse fougueusement avec ce qui dépasse de moi entre les lames. Mon gland frotte contre son clitoris durci et hypersensible. Chaque poussée, aussi fine soit-elle, lui arrache de longs gémissements. Ma queue lui appartient maintenant complètement. Elle la fait coulisser de haut en bas de sa fente, de plus en plus fort, de plus en plus vite. Son ventre se creuse sous le plaisir. Je suis tour à tour aspiré, puis rejeté par les pétales de sa fleur de lotus béante de désir. D’une voix rauque, elle me décrit le détail des sensations qui la font chavirer. Peu à peu, elle semble vouloir s’apaiser. Elle maîtrise à nouveau sa respiration, tout en savourant le paroxysme de plaisir qui s’est emparé de son ventre. Elle se sent approcher du sommet de la jouissance et me demande d’une voix étrangement contenue de l’accompagner dans l’orgasme qui va la submerger. Les mots qu’elle prononce me mettent dans un état indescriptible. Plus rien ne peut retenir ce jus qu’elle veut sentir gicler sur elle. Je cale mon bassin de manière à bien faire coulisser mon membre le long de sa fente et, sans m’occuper du métal froid qui frôle ma verge, je me laisse aller contre elle aussi fortement que je peux. Sa vulve est distendue sous ...