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Ma fille et son amour sans limite pour les animaux (1)
Datte: 29/09/2017, Catégories: Zoophilie,
Depuis sa plus tendre enfance Tiphaine, ma fille, voulait un chien. J’ai toujours argué qu’un animal n’avait pas sa place dans un appartement, que l’exiguïté de notre F4 rendrait la bête malheureuse. Tiphaine revenait régulièrement à la charge, soutenue insidieusement par ma femme. J’ai tenu bon jusqu’à ce que ma fille unique ait 18 ans et puis j’ai craqué. C’était son anniversaire, de plus elle venait d’obtenir le bac. J’ai bien encore une fois objecté qu’avoir une bestiole réclamait du temps et de l’attention. Il faudrait sortir le toutou, lui donner à manger. Qui allait le faire? C’était un excellent argument car ma fille était tout juste capable de s’occuper d’elle même, si on peut appeler comme ça le fait de passer ses journées sur internet avec ses copines. Tiphaine nous croisait juste au moment des repas et encore fallait-il l’appeler plusieurs fois pour qu’elle daigne venir mettre les pieds sous la table. Ranger, faire le ménage ou encore la vaisselle étaient des concepts qui lui échappaient complètement. Je nourrissais donc les pires inquiétudes au sujet de la garde du futur animal. Mon baroud d’honneur ne servit à rien; Les larmes de ma fille conjuguées au mépris de ma femme qui me qualifia pour l’occasion d’égoïste absolu eurent finalement raison de mon bon sens. Nous nous rendîmes donc dans une animalerie au rayon canin. Là au milieu des boules de poils qui geignaient en se tortillant dans des cages sous dimensionnées et remplies de copeaux, Tiphaine tomba ...
... soudainement amoureuse d’un caniche mâle noir de trois mois, qu’elle baptisa aussitôt Kirikou. Je ne voyais pas clairement le lien entre la bête et le petit héros des films d’animation mais là n’était pas le problème. Le vendeur fit l’article, nous ventant toutes les qualités de cette race attachante, sa bonne humeur permanente, son côté joueur. C’était inutile ma fille et sa génitrice étaient convaincues par avance. Le prix de Kirikou rapporté à son poids approchait celui du meilleur caviar. Mais quand on aime on ne compte pas, c’est bien connu. Ce n’était pas fini, il fallait que l’animal jouisse d’un absolu confort, d’où la nécessité de lui offrir quelques accessoires supplémentaires dont l’utilité ne me paraissait pas si probante. Le coffre de ma Clio se retrouva rempli à ras bord d’objets divers. Tel ce panier en osier qui aurait pu accueillir les 101 dalmatiens, avec son coussin en tissu écossais très chic. Plus différents types de croquettes car, comme nous ignorions totalement les goûts culinaires de notre nouvel ami, il était obligatoire de lui proposer un choix le plus vaste possible dans ce domaine. Kirikou eut droit à un magnifique collier de cuir agrémenté d’un grelot qui résonnait sans cesse d’un son aigrelet. Ce qui offrait certes l’avantage de pouvoir localiser immédiatement l’animal mais me cassa rapidement les oreilles, les pieds et éventuellement le reste. Une niche en plastique complétait la panoplie. Sa taille n’offrait pas la possibilité d’y faire rentrer le ...