1. Ma fille et son amour sans limite pour les animaux (1)


    Datte: 29/09/2017, Catégories: Zoophilie,

    ... couffin mais ainsi notre petit protégé pourrait le cas échéant se retirer dans ses appartements privés si notre compagnie l’importunait. Ah oui! il fallut un deuxième coussin car il était hors de question que le chiot goûte aux pavés froids de notre logement. Bien sûr nous nous rendîmes également acquéreurs de différents produits de toilette et autres lotions anti-parasitaires. Un faux os en caoutchouc rose destiné à renforcer la dentition du futur molosse et qui couinait à la moindre morsure, ajouta une touche finale à cette débauche d’achat. Le retour fut assez rapide mais pas suffisament. Kirikou, pris par une envie soudaine ou peut-être apeuré par ma conduite, se soulagea sur le siège arrière de ma voiture, arrachant un rire soutenu à ma fille qui trouvait la situation particulièrement cocasse. Nettoyer la fiente animale me prit plus tard une bonne demi heure. Par contre il me fut impossible de me débarrasser de l’odeur aigrelette qui s’en dégageait. Mais revenons à notre mouton. Pas plutôt passé la porte d’entrée l’animal échappa à Tiphiane qui lui faisait des mamours et se précipita sur le tapis haute laine beige du salon qu’il prit certainement pour un gazon synthétique, vu l’empressement avec lequel il y soulagea sa vessie. Dans les jours qui suivirent il privilégia systématiquement le confort de la laine à celui de la boite remplie de copeaux que je lui avais pourtant installée. Des tâches diffuses dans les marron ou jaune, selon l’humeur du moment, donnèrent ...
    ... progressivement à à notre carpette un aspect chamarré qui, à part moi, ne semblait gêner personne. Ma fille avait temporairement remisé son ordinateur, son portable et sa tablette pour filer le parfait amour avec son Kirikou. Elle dormit même avec jusqu’à ce que les émissions nocturnes régulières que lui proposaient l’animal mettent fin à l’idylle. Désormais Kirikou couchait dans son panier et Tiphaine, prototype de l’amoureuse déçue, ne lui adressa même plus un regard. Ma femme qui les premiers jours condescendait parfois à rajouter quelques croquettes dans sa gamelle, se désintéressa progressivement du chiot. Ma vie changea profondément. Je devins subitement, moi qui étais au départ aussi sportif que Churchill sur ses vieux jours, un adepte de la marche forcée et ce à tout heure du jour et de la nuit. Pour éviter que Kirikou ne finisse de transformer mon tapis en un immonde cloaque, je me résolus à le sortir chaque fois que mon œil averti m’indiquait un besoin pressant de sa part. Comme il n’était pas question de le tenir en laisse car cela aurait été vécu comme un acte dégradant par les amoureux des bêtes qu’étaient ma compagne et ma fille, j’appris même rapidement à courir derrière la bestiole et même à me coucher sous les voitures le cas échéant. Au bout de quelques semaines de ce régime, mon embonpoint avait largement diminué. Ce fut le seul aspect positif de la situation. C’est faux, car entre rappels de vaccins et visites préventives, je devins également intime avec mon ...