1. Ma fille et son amour sans limite pour les animaux (1)


    Datte: 29/09/2017, Catégories: Zoophilie,

    ... joies, auquel sa fille et elle étaient si attachées! j’étais un monstre dépourvu de la moindre trace d’humanité. Je capitulais sans condition. xjrxbbsa Le hasard, qui est la vie ce que la béchamel est aux endives au jambon, vint finalement à mon secours. Je n’oublie en général pas grand chose. Mais ce jour là le dossier que je devais boucler impérativement été resté pour partie chez moi où je l’avais emporté la veille pour avancer mon travail. Total, quand j’arrivais au bureau dix feuillets manquaient à l’appel. Je fis donc le chemin inverse en me maudissant car une heure de route supplémentaire venait ainsi s’ajouter aux trente minutes quotidiennes qui séparaient mon domicile de l’agence. La porte n’était pas fermée. En un tournemain je filais dans le salon récupérer le fameux dossier. Une surprise de taille m’y attendait. Sur le fameux tapis Kirikou, la lippe pendante, besognait mon épouse dans une levrette endiablée. Déjà fortement en retard je ne m’attardais pas sur cette scène sans équivoque. C’était pour moi une bénédiction. Tout obstacle au départ de notre fidèle compagnon était levé comme par enchantement. Le cocu zoophile que j’étais usa de son maigre temps libre pour poster je jour même sur différents sites les photos de l’animal agrémenté ...
    ... d’un texte élogieux. J’insistais lourdement sur la gratuité de la transaction. Deux jours plus tard une mamie plantureuse venait prendre livraison de Kirikou qu’elle trouva immédiatement affectueux. Je n’osais lui dire à quel point c’était le cas. Aprés son départ je me jetais sur le canapé de cuir, oubliant un instant les stigmates des outrages que le caniche lui avait infligés et me versait un large whisky pour fêter dignement la fin de mon calvaire. Ma félicité dura exactement trois semaines, au bout desquelles Tiphaine nous annonça par téléphone qu’elle venait de rompre avec son amant infidèle et rappliquait immédiatement à la maison. Ce fut moi qui lui ouvris la porte. La pauvrette, en larmes, avait abandonné toutes ses affaires à ce salaud, à l’exception d’un énorme sac de sport débordant de vêtements enfouis à la hâte. Ah oui, comment ai-je pu oublier! Il y avait aussi Cookie. Tiphaine n’avait pu se résoudre à abandonner le joli cocker de couleur feu que son copain lui avait offert quelque semaines auparavant. Ca tombait mal, je venais de finir de liquider les affaires du caniche sur le «Bon coin». Devant son désespoir je la laissais avec sa mère et son gentil compagnon et reprit ma Clio, direction l’animalerie dont je connaissais si bien l’adresse. 
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