Réconfort & vieilles dentelles VI. Les escarpins rouges (4)
Datte: 29/09/2017,
Catégories:
Hétéro
... proie. Elle me fixait, immobile, comme paralysée - fascinée ? - elle n’émit aucune protestation. Je tendis mes mains vers sa taille. Immédiatement elle passa ses bras autour de mon cou et m’enlaça. Ma bouche fondit sur la sienne et elles fusionnèrent. Mes bras emprisonnèrent sa taille. Je la plaquai contre moi, ma main caressait fiévreusement sa nuque, ses cheveux courts, l’autre partait en exploration de son dos, ses épaules, ses bras. Elle me galochait fougueusement, nos bouches se cherchaient, se lâchaient, se reprenaient ; je mangeais ses lèvres, son menton, ses pommettes, et elle n’était pas en reste. Tout en l’embrassant je commençai à reculer, l’amenant au pied de l’escalier où je lui fis faire un demi-tour, si bien qu’elle grimpa les degrés à reculons, marche après marche, mes mains courant partout sur son corps, ma bouche passant de son cou à sa bouche. Nos bouches avides étaient trempées de salive, il y avait dans ses yeux bruns cerclés de bleu comme une lueur de folie ; je la maintenais emprisonnée dans le cercle de mes bras, ne la laissant s’écarter légèrement que pour gravir chaque marche supplémentaire en toute sécurité, avec ses talons rouges glissants. Je la serrais fort, les marches grinçaient comme à leur habitude, mes mains descendaient vers le bas de ses reins, appréciant la naissance de sa croupe que je trouvai musclée et nerveuse comme celle d’un pur-sang. Nous fûmes bien vite au pied de mon lit. Des bougies parfumées embaumaient l’espace intime de la ...
... pièce chaude, odeur d’ambre et de musc. Je la débarrassai de la veste de son tailleur et me mis nerveusement à déboutonner son chemisier ; une fois ouvert, je lui fis passer par-dessus ses épaules d’un geste brusque et passionné. Elle n’avait pas perdu son temps et avait fait de même avec ma chemise. Je descendis l’une après l’autre les bretelles du soutien-gorge, posant dans un mouvement quasi-religieux ma bouche sur l’épaule ainsi découverte, ce qui la fit sourire, d’un sourire attendri. Je caressai ses épaules douces, son dos, mes mains glissèrent jusqu’aux agrafes que je défis tout en la regardant dans les yeux, ses beaux yeux doux de femme en apparence bien sage. Puis prenant entre mes doigts le petit sous-vêtement, je lui descendis délicatement le long de ses bras, mes mains les caressant ce faisant, effleurant ses avant-bras, ses fins poignets ; je fis tomber l‘objet à terre, lui pris ses mains. Ses yeux étaient fichés dans les miens. Je prenais sa bouche par petits coups, en picorements nerveux qu’elle me rendait en écho. Tout doucement, elle souleva mes mains, et sans lâcher mes yeux, elle les porta à sa poitrine nue que je n’avais pas encore regardée. J’ouvris des soucoupes sur deux jolis petits seins que je découvris alors, des jolis petits fruits arrondis comme des poires bien mûres. Mes mains délicatement s’y posèrent à plat et elle eut comme un frisson. Je commençai à les caresser et à les palper avec des petits mouvements circulaires, dédaignant les pointes dans ...