-
Ma tante de 45 ans est sublime (13)
Datte: 10/05/2020, Catégories: Inceste / Tabou
... (!). Et c’est à ce moment que je réalisai le bonheur intégral de baiser ma tante. Elle m’était offerte, jambes écartées, seins en feu, bouche ouverte et son sexe désireux de recevoir mon membre puissant. Je baissai mon pantalon à toute hâte et Chantal regarda contemplative mon organe. — Et bien, je vais être gâtée... dit-elle fixant mon sexe. — Ma belle tatie, je vais te sauter comme tu aimes ! — Mais je ne demande que ça mon neveu chéri et je vais avoir 40 ans demain, alors fais-moi un beau cadeau. Je sentis mon sexe rigide irrésistiblement attiré par la chaleur du bas ventre de ma tante, aux yeux brillants du désir de se faire bien baiser par son propre neveu. Mon pénis gorgé de sang s’approcha du sexe de ma tante, elle attendait les jambes en l’air et un peu de de son jus s’écoula pour se répandre le long de son sexe. Mon cœur battait à 200 à l’heure, j’avais du mal à en croire mes yeux. Ma tante, objet de tous mes fantasmes avait les cuisses ouvertes sur la table de la cuisine et patientait, souriante pour s’accoupler avec son jeune neveu. Mon gland lança le premier assaut en glissant le long de ses lèvres pour mieux effleurer son clitoris. Ce ne fut que pure merveille que de voir mon sexe s’engloutir paisiblement dans l’orifice de ma propre tante. Elle respira un grand coup, synonyme de soulagement de me recevoir enfin en elle. Sans être technique, ce type de position fut idéal pour donner le maximum de plaisir à ma tante, elle qui aimait se faire pénétrer profondément. ...
... J’attrapai au vol un de ses pieds pour en caresser ses orteils au vernis rose. Chantal aima ce geste et à son tour, elle saisit mon majeur pour le sucer ardemment. La magie opéra ; je suçais ses orteils sensuels, elle avait mon doigt en bouche, mon pénis faisant des allers retours dans son orifice. Nous avions chacun nos tâches et plus mes coups devinrent intenses et plus les joues de ma tante se creusèrent en suçant mon doigt. En expirant, ses côtés furent visibles, comble de l’excitation pour moi. J’emmenai tranquillement Chantal vers un puissant orgasme. — Oh j’adore comme ça Jean... — Tu n’es pas la seule. Chantal mordit mon doigt férocement, je suçai ses orteils somptueux comme un damné. Notre jouissance devint simultanée, ma tante s’ouvrant à moi dans tous les sens du terme. Elle me regarda fixement tout en train de jouir. Ces mots me vinrent à l’esprit : "Si la mort avait ton regard, je meurs ce soir sans regarder... Au bord du vide et des baisers." Elle m’emmena avec elle au bord du vide et nous tombâmes dans une chute effrénée. Mes saccades firent tressauter de bonheur ma tante, je ne sentis plus mon doigt dans sa bouche, tout comme ses orteils délicieux au fond de mon palais que j’aspirais. Mon sexe baigna dans le bas ventre de ma tante, je caressai d’une main son ventre duveteux. Je ne pus m’empêcher d’exalter par des mots, ma jouissance profonde ressentie en pénétrant ma sublime tante. Elle en fit de même. — Oh non de dieu, que c’est bon. Lui dis-je totalement en ...