1. Ma tante de 45 ans est sublime (13)


    Datte: 10/05/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... fait avec une confiance absolue de la femme dans son amant. Tel fut le cas. Chantal aimait de plus en plus cette pratique nouvelle pour elle (et pour moi, admettons-le). Nous nous accordions bien et je sentais ses muscles de son canal se décontracter au fur et à mesure de mes passages en elle. Ma tante se cambra davantage, ce fut le signe qu’elle était prête à recevoir des messages d’amour que mon sexe, en bon élève, s’exécuta à distribuer. — Tu me fais jouir mon chéri ! Viens en moi...maintenant ! dit-elle haletante. — Oui ma douce Chantal... dis-je dans un souffle. Et une partie de mon corps s’abandonna dans le celui de ma tante chérie. S’en suivirent des spasmes violents, Chantal hurla son plaisir, lâcha cette joie contenue depuis des années quand l’orgasme la submergea. — Oh que c’est bon...que c’est bon mon beau neveu, mon étalon à moi...que c’est bon ce que tu me fais... — Je suis au Nirvana avec toi Chantal !! lui dis-je en m’affalant sur elle. Nos corps transpiraient l’amour, la déraison... Nous savions inconsciemment que nos ébats prendraient fin dès demain, que notre relation atteignait son apogée. Notre écart de 20 ans d’âge n’était pas le problème, nous nous entendions parfaitement, pas uniquement sur le plan sexuel. Non, le vrai problème était bien notre relation tante-neveu. Je n’allais pas annoncer à ma mère que ma petite stagiaire était en réalité sa propre petite sœur et de même, Chantal se voyait mal en parler pour dire quoi ? Oui je couche avec mon ...
    ... neveu, on s’éclate comme des bêtes et il est plus jeune que mon fils. Ah non, la morale de notre société nous l’interdisait. L’inceste reste tabou mais pour ma part, cela reste plus "acceptable" de faire l’amour avec sa tante qu’avec sa mère. Inimaginable rien que d’y penser. Ce qui me tracassait le plus était le fait de ne plus se voir, de plus connaître une femme avec qui je partageais des moments aussi intenses. J’avais réalisé mon fantasme : baiser une femme mûre et hyper bien foutue et qui plus est, celle qui m’avait toujours ensorcelé, ma tante, ma douce Chantal. Un dernier coup de reins terrassa ma tante accompagné d’un long soupir. Mais elle ne bougea pas et je ne sentis pas de contractures m’indiquant la sortie, Chantal voulut que je reste en elle. Pure gourmandise de sa part, aussi je restai en elle, tout en continuant un va et vient bien lent qui me permit, une fois l’orage passé, de mieux sentir les chairs intimes de ma tante. Les soupirs si audibles de ma tante m’excitèrent au plus haut point. Ma cadence lente ne fit qu’attiser son plaisir et je commençai à ressentir quelques contractures de sa part, preuve qu’elle devenait à nouveau réceptive pour un second départ. Mon cerveau commanda mon sexe et en bon soldat, il répondit présent pour le plus grand bonheur de ma tante. — Jean, je crois que tu es infatigable ! — Avec toi, je ne sais pas m’arrêter. — Oh, c’est un joli compliment mon neveu. — Ne le prends pas mal, mais tu es une merveille à baiser ma tante chérie. — ...
«12...789...15»