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Ma tante de 45 ans est sublime (13)
Datte: 10/05/2020, Catégories: Inceste / Tabou
... Alors je te retourne le compliment, tu me baises à merveille mon amour. Mon cœur s’accéléra, mes mains tremblantes d’excitation se mirent à caresser sans cesse la croupe si majestueuse de ma tante. Tout en la pénétrant, je me sentis sur l’instant comme un privilégié. Voir le cul si parfait de ma tante, sa nuque élancée, ses hanches si...En fait, son corps respirait la féminité, je respirais ma tante, je humais sa sueur, je l’enveloppais de mon corps, elle était ma chose, mon objet du déni. Je ne cessai d’admirer sa croupe offerte, dans laquelle mon sexe plein de vigueur à nouveau, se mit à augmenter à un tel rythme que ma tante proféra des mots crus. Elle se lâcha sentant la fin de notre accouplement. — Oh Mon dieu, que tu me baises bien petit salaud ! — Je sais. — Oui, tu sais me faire jouir comme tu veux ! me baiser quand tu veux ! ...que c’est bon, continue... — C’est juste génial. — Ouiii génial, tu me baises si bien, tellement bien...tu es le meilleur amant que j’ai eu. Je pétrifiai les fesses bien fermes de ma tante et la pris ensuite par les hanches en lui imposant cette fois une charge héroïque, tel un western entre les nordistes et les sudistes. Il me manqua le cheval ... et le drapeau. J’omets le sabre volontairement. Ne sachant quel camp choisir, je préférai en devenir le réalisateur. Les images se succédèrent. Je pensai à Victor Hugo, à son poème "Demain dès l’aube". En utilisant des mots simples, les phrases deviennent parfaites. Voir ma verge disparaitre dans ...
... ses fesses subliminales dépassa mes fantasmes ; la faire gémir, l’entendre jouir me donnèrent accès à un plaisir inconnu ; la posséder, elle, ma tante, la sœur de ma mère, femme mûre de 40 ans me nourrit d’un orgueil inégalé. Je baisai ma tante, ma superbe tante si inaccessible dont je fus son maître, je devins son Cupidon, Dieu de l’amour s’accouplant à ma déesse toute à moi, mon Aphrodite. Ma tante, le visage étalé contre le tissu du canapé n’en finissant plus de gémir de plaisir, son corps perlant de sueur me chuchota des mots d’amour, les mots d’une femme apaisée, sereine, heureuse. — Je t’aime Jean, tu le sais ? — Oui ma douce Chantal et sais-tu que ça va être très dur de ne plus te voir ? — Ne m’en parle pas...je n’ose pas y penser. Puis la bataille reprit. Pour la première fois, je pensai que ce serait la dernière fois que je prenais ma tante par cet endroit. Je ne sus ce qui me passa par la tête, mais pensant cela, il me fallut profiter au maximum de ma tante, de son si joli derrière. Je fus concentré à l’extrême pour la pénétrer au plus profond, lui faire ressentir mon membre dans cette cavité si intime, lui apporter un bien-être physique et moral qu’elle n’aurait jamais avoué avoir ressenti venant d’un autre homme que moi. Chantal aimait se faire pénétrer en force, pas de manière brutale mais plutôt virile. J’enfonçai mon sexe tantôt lentement en glissant dans son canal si étroit à sa naissance, pour finir bien au fond de ma tante chérie ou de manière saccadée. Les 2 ...