1. La peluche


    Datte: 13/05/2020, Catégories: fh, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme massage, confession, attirautr,

    ... ne serait-ce que quelques heures, une créature si sublime, qui s’ouvre à toi comme une fleur qui attend d’être libérée du mal qui l’habite, libérée de sa douleur ! Mon art fluait à travers le physique jusqu’à atteindre le spirituel, pour libérer l’esprit du poids qui l’attache à la terre et le laisser s’envoler quelques secondes de sa prison de chair. J’étais ainsi, ingénu et bien intentionné, plein de bons sentiments et désireux d’aider ma malheureuse visiteuse, quand la malchance est venue passer son vilain bec au-dessus de la clôture de ma vie. J’avais déjà placé la serviette pliée à hauteur de la taille de Ève, découvrant sa jolie lune, et j’étais en train de travailler ses muscles fessiers durs et bronzés avec mes deux mains. Un autre masseur moins professionnel aurait sans doute expérimenté une exceptionnelle érection devant pareille activité effectuée en un territoire semblable, mais moi, non ! Mon amour pour le don que Dieu m’a donné, la concentration sur mon travail et la préoccupation pour le bien-être de mes patientes étaient telles qu’ils m’interdisaient de glisser et m’accommoder vers le champ stérile de la libido sexuelle. Il est évident qu’un tel flux continu d’énergies partagées produisait, à la fin de chaque journée, à travers mes doigts, une surcharge de sensualité et d’hyper sensibilité qui normalement se déchargeait, la nuit même, au contact de ma délicieuse fiancée, folle de plaisir. Mais à ce moment précis, ce cul était seulement pour moi un moyen ...
    ... d’arriver à la rédemption animale de sa propriétaire. Bien sûr, rien ne m’a jamais empêché de jeter de temps en temps un regard évaluateur, éminemment masculin, sur ces culs parfaits, délicieusement bombés. Comme tout le monde, je le faisais souvent (je ne suis pas aveugle !), retranché et complètement en sécurité derrière ma barricade professionnelle qui me permettait d’éviter d’associer un regard admiratif avec une excitation de mes sens, isolés et invisibles dans un coin insondable de mon être. Cette fois-ci, même les lèvres écartées de son vagin gonflé, dues à la tension de mes doigts qui accompagnaient la peau brillante de ses fesses, ou l’occasionnel gonflement de son anus, perdu entre deux eaux, nid-de-poule dans lequel Moïse lui-même se serait pris les pieds et serait tombé, n’exerçaient sur moi le moindre effet, à l’exception de la froide reconnaissance devant un travail architectural bien fait. C’est à ce moment-là que ma vue a capturé un élément étranger à une telle perfection anatomique, un grumeau, laid et vulgaire, qui contrastait, telle une horrible faute de goût, avec l’équilibre artistique du chef-d’œuvre. Au milieu de la douce et légère toison brune qui achevait la partie postérieure de son vagin, Ève avait, attrapée et ignorée par son hôte, une désagréable peluche grise enroulée entre les bras tordus de ses poils, comme un horrible petit animal immobilisé par les fils d’une toile d’araignée. C’est précisément l’ignorance de sa propriétaire, sa méconnaissance de ...