1. La peluche


    Datte: 13/05/2020, Catégories: fh, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme massage, confession, attirautr,

    ... main. Mais tout ce que je pus entraîner avec moi fut quelques poils qui s’arrachèrent dans un cri de douleur. — Auh ! se plaignit Ève, levant légèrement la tête, étonnée de cette illogique brûlure qui l’avait brusquement expulsée de sa douce torpeur. Si je voulais m’en sortir sain et sauf, je devais agir avec rapidité. Je commençai alors à palper comme un fou avec ma main libre sur ses fesses, comme un indigène sauvage frappant le tam-tam pour avertir de l’attaque d’un village, brusquement et le plus vite possible, afin qu’elle croie qu’en réalité je tentais de réveiller ses muscles, la maintenant surprise et occupée, le temps suffisant pour précipiter de nouveau mes doigts au fond de ce maudit et luxuriant abyme, disposé à attraper une fois pour toutes cette peluche : cette fois mon majeur l’enroula, glissant sous la cavité inférieure (à cause de l’huile en superficie), mais avec la malchance de terminer introduits, doigt et peluche, dans le vagin de Ève, engloutis par sa chatte marécageuse. — Ah ! cria-t-elle sèchement, se redressant comme un ressort et sautant du divan, sans même me laisser le temps de retirer mon doigt.— Je… je… balbutiai-je, tiré par son vagin contracté, la main attrapée ...
    ... entre ses fesses, alors que je cherchais une explication plausible pour cette transe qui pourrait mettre fin à ma carrière. C’est une nouvelle technique de relaxation, tentai-je. Je ne pense pas que cela aurait beaucoup servi de lui raconter la vérité, mais même à ce moment critique, il ne m’est pas venu à l’esprit de ridiculiser la crédibilité esthétique de ma cliente. Ça n’a plus d’importance ! Ève se secoua et, dans un inespéré mouvement de bassin, sortit de mon local en criant que je voulais la violer. Sonia, mon assistante, qui me connaissait pourtant si bien, arriva en hâte et me lança un regard accusateur, avec cette soudaine solidarité que ressentent les femmes quand, malgré des années de haine et de compétition mutuelle, elles se rendent compte qu’à l’une d’elles est arrivé un malheur. Elle ne s’est même pas préoccupée pour mon poignet. Et moi je suis ici, enfermé, dans l’attente de mon jugement, ma vie ruinée et sans aucune possibilité d’un jour retrouver mon travail, ma vocation, le sens de ma vie, uniquement pour avoir voulu essayer de sauver la face de l’une de mes clientes. Je peux seulement dire pour ma défense que j’ai la conscience tranquille. Et je jure que sa chatte était trempée ! 
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