1. Le neveu de Rameau


    Datte: 15/05/2020, Catégories: Humour, Mature, Première fois

    ... réflexe de défense j'aggravais en sorte mon cas.Cela sonna comme un hallali. Je découvris ce jour-là du jeune hommequ'était mon cher neveu. On ne m'avait guère menti quant à ses façons degarnement et de voyou. Un instant il s'éloigna vers la grande baievitrée pour y passer un coup de fil. Je compris globalement qu'ildonnait quelques autres consignes à sa secrétaire comme pour différerson retour. Nous étions ainsi assurer d'être tranquille pour une bonneheure.Maintenant il s'était installé vis-à-vis de moi assis sur une chaise. Samain benoîtement me tapotait le genou, l’œil malicieux. Il m'assuraitque nous étions formés du même métal et que nous devrions nous entendre.Sa main remontait allègrement sous ma jupe. Un frisson sicaractéristique déjà me traversait. Je n'ai jamais pu résister aucontact d'une main d'homme. Pour seule défense je fermais les yeux melaissant faire. Nos visages durent se rapprocher car mes lèvress'ouvrirent au contact des siennes. Il était si empressé. Je cédaisd'autant de terrain. Langues mêlées je consentais à ma reddition. Lereste n'était que formalité.Il se releva ouvrant sa braguette. Je savais l'étape obligée de lesucer. J'adorais cette entrée nécessaire sans lequel il n'est point debon repas. Armand était bien monté. Je pouvais être fière de ce neveu.Il grogna subitement que son frère ne pouvait en prétendre autant.L'imbécile persistait dans l'erreur que j'eus sucé ce dernier. Vaine etpuérile rivalité entre eux. Je n'en savourais pas moins ...
    ... longtemps saqueue dans la bouche. Il découvrait le talent de sa tante. Je ne luiavais jamais offert de comparable cadeau. Mes scrupules s'étaient tout àfait envolés. Je mettais un point d'honneur à satisfaire un mâle.le chéri manifestait ostensiblement son plaisir. Monsieur prenait sonpied. Je passais haut la main mon début d'examen. Ne voulant être enreste il me retira prestement la culotte jetant celle-ci au loin. Jepris en bonne part ce geste. Une baise doit conserver son caractèreludique. A présent assise sur le bureau cuisses tout écartées, jelaissais le jeune homme avec sa langue me lécher. Je dus admettrerapidement de la dextérité de celle-ci. Je demeurais perplexe qu'à sonâge Armand put être déjà si vicieux. Sans mentir il se révélait bonamant. Quoiqu'il en soit j'avais envie qu'il me foute. Sa queue déjà mepilonnait.Je n'avais cure que le coït fut ponctué des insultes classiques. Le motsalope résonnait juste à mes chastes oreilles. Il m'importait peu qu'unneveu put qualifier ainsi sa tante. De toute façon il avait maints foisrêvé de me baiser. Tout entrait dans l'ordre. Je l’exhortais à mebourrer sans ménagement. Je goûtais l'entrain viril. Sans ménagement ilme jeta à quatre pattes sur la moquette et m'encula. Ce dédain, cetirrespect me chaviraient. J'étais aux anges. Depuis longtemps je n'avaisété foutue de la sorte. D'une bouche goulue il dévora la mienne tandisque s'exhalait son foutre au fond du cul. Armand était un parfait amant.Il obtint en titre de reconnaissance une ...