1. Finir en un bar à putes


    Datte: 15/05/2020, Catégories: Anal Inceste / Tabou Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... l'entretins de la prochaine entrevue.Ce serait dans un hôtel de luxe parisien et j'exigeais que ce fut pour trois heures au moins. Je lui marquais par là que j'étais plein aux as. Que je ne regardais pas à la dépense quand une fille me plaisait. Elle m’en sut gré. Elle m'avouât par la suite qu’elle n'avait jamais eu cette chance. Qu’elle n'avait jamais suscité pareille dévotion chez un client. Elle trouvait même cela bizarre. Que pouvais-je lui trouver de différent d'une autre fille ? Je vis que c'était son tour d'avoir envie de savoir sur moi. Elle n'avait jamais conçu être autre chose qu'une pauvre et vieille catin.Elle fut sincèrement éblouie par le faste de l'hôtel. Je ne lui avais pas menti. A la connivence du personnel, elle vit que j'étais un familier du lieu. J'y avais sûrement amené d'autres poules. Elle ne put s'empêcher contrite de dire : « Tu as du y emmener de superbes call-girls. » Je ne pus réprimer de sourire car c’était vrai mais j'aurais pu ajouter qu'avec elle c'était différent et si unique. Cependant et encore aujourd'hui je ne parviens à m'expliquer l'emprise que cette femme exerçât d'emblée sur moi dès le soir où je la découvris mi-nue près du mur dans les atours d'une prostituée.Ce devait être notre destin et notre fatalité. Cette après-midi j'ose dire que nous fîmes l'amour. Nous fûmes amants en effet. J'eus l'impression qu’elle se débarrassait de son masque et de son armure. Qu'enfin elle se lâchait. Sûrement n'avais-je eu de cesse de découvrir la ...
    ... vraie et belle personne qui se cachait en elle. On eût dit un diamant qu on avait enfoui au profond de la terre. Je voulais que celui-ci fut ramené à la lumière du ciel. Je tins ce jour-là la convaincre qu’elle méritait une autre et meilleure vie mais elle se fermait à chaque fois que j'évoquais celle-ci et son mari.Sa vie était lestée d'un boulet énigmatique qui inexorablement la happait vers le bas. Je ne pouvais pas supporter qu'elle retournât là-bas dans le bois se prostituer. Je le lui dis. Elle le prît mal fort mal. »C'est notre gagne pain ! » Je compris par là que son homme était un foutu branleur vivant d'expédients et la réduisant à ramener ce fric. Je devais procéder autrement et faire montre de plus de tact. Déjà je pus la convaincre et ce aisément que nous baisâmes dans des hôtels ou partout ailleurs que dans ce bois. Je ne pouvais me résoudre à la voir vaquer dans ce sinistre contexte.Puis survint ce hasard qui démêle tant de choses. J'étais entre autres vices familier d'un bar à putes vers les Champs Élysées. Or ne voilà-t-il qu'un soir je m’épanche un peu imbibé auprès du patron du lieu. Un certain Ferdinand. Il vit bien que j'étais mordu d'une petite. Il ne fut pas peu étonné quand je lui dis que c'était une femme mûre et qui avait vécu et surtout s’adonnait présentement au plus vieux métier du monde. Il vit que je prenais fort mal son air narquois. Il mesurât ma peine. Le lendemain j'eus ce SMS lapidaire. « Viens ce soir couillon je veux te dépêtrer de ton ...
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