1. Finir en un bar à putes


    Datte: 15/05/2020, Catégories: Anal Inceste / Tabou Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... problème. »Il avait trouvé une solution lumineuse. Sa fille du vestiaire originaire de Croatie avait décidé sur un coup de tête de retourner au bled. Il devait lui trouver une remplaçante. Il prit cela comme une heureuse coïncidence que je lui parlas de cette autre personne. Il me demandât instamment à la voir. Il me restait cependant à la convaincre. Ce ne fut pas facile. Je dus exagérer les émoluments pour la décider. Enfin un soir tandis que j'étais en famille affalé devant la télé, j'eus d'elle ce petit SMS : « Ton ami est sympa. Son job me tente. Faut que j'en parle à mon mari. » L'horizon se dégageait.Je dus pourtant en rajouter une couche une fois que nous fûmes nus dans un pieu d'hôtel. Elle se battait avec ses derniers scrupules. Son instinct trouvait que tout cela était trop beau pour être vrai. Le Destin ménageait là-dessous quelque piège. Je dus démonter un par un ses spécieux arguments. Elle m'avouât sur la fin que son mari était favorable voire enchanté de ma proposition. Elle me suçât avec plus de flamme et de générosité que d'habitude. Je compris qu'elle se libérait enfin. Je pus sans vergogne lui taper dans le cul. J'eus la nette impression qu'elle n’affectait pas de ...
    ... jouir.Elle devait commencer dans quinze jours. J'appris avec chagrin que le pote lui avait concédé qu'elle pourrait arrondir ses fins de mois en octroyant de petits plaisirs à certains clients. Bref elle n'avait pas choisi de renoncer tout à fait à son ancien métier. Surtout voulus-je m'assurer qu'elle ne retournerait pas tantôt à son petit bois près du mur. Ainsi vins-je plusieurs fois le soir à cet endroit. Puis même vins-je à la filer plusieurs fois. Je fus convaincu qu’elle allait à son nouveau métier. J'obtins de temps en temps que nous allions à l'hôtel. J'insistais que tout cela demeurât encore tarifé.Puis un jour d'un commun accord nous convînmes de ne plus nous voir peu après qu'ils eussent tous deux déménagés du quartier. Ils habitaient maintenant Paris peu loin du bar à putes. Le pote en effet avait dégoté pour son mari un poste de vigile en un parking de la capitale. Cela roulait pour eux. Ce fut plus fort que moi un soir j'eus idée de me grimer pour m'improviser client au bar à putes. Il y avait foule. Je pus à loisir espionner. Je la reconnus de loin belle, changée et lumineuse à son vestiaire. A un moment je vis un cochon lui chuchoter à l'oreille. Elle rit me décidant à m'en aller. 
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