La révélation
Datte: 17/05/2020,
Catégories:
fh,
ffh,
couplus,
extracon,
Collègues / Travail
vengeance,
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
exercice,
... D’une façon ou d’une autre, je dois percer l’abcès ou notre vie va vite tourner à l’enfer. Il est à peine midi et je sonne chez Laurent. Nous sommes convenus de nous rencontrer le mercredi parce que je ne travaille pas ce jour-là, et en tout début d’après-midi, car mon fils fait sa sieste sous l’œil attentif de ma mère. Pour elle, je fais les boutiques. Ma surprise est totale lorsque je constate que c’est sa femme qui m’ouvre la porte. Je pense m’être trompée de jour et cherche une excuse quelconque à ma présence, mais immédiatement elle me fait signe d’entrer. — Laurent est là-haut. Il vous attend. Et elle referme la porte pour disparaître dans une pièce. En effet, il m’attend, dans la même chambre que la première fois. Comme je m’inquiète de la présence de sa femme dans la maison, il me rassure ; enfin, à moitié : — C’est moi qui lui ai demandé de rester. Cela fait partie de sa punition. Étrange couple. Étrange comportement ; lui, mais elle aussi. Je ne me vois pas exiger de mon mari qu’il reste dans la même maison alors que je couche avec mon amant. Mais Laurent clôt la discussion par un charmant : — Tu es très en beauté. C’est vrai que je me suis longuement préparée pour cet instant, comme pour un premier rendez-vous. J’ai longtemps hésité, pesant le pour et le contre de chaque bout de tissu, pour finalement opter pour quelque chose de très chic, sans provoc. J’ai aussi bien rafraîchi mon épilation, car dans mes souvenirs le sexe de Laurent était sans un poil. Bien sûr, ...
... je suis stressée ; mais Laurent se comporte en parfait séducteur, trouvant le mot juste, le geste qui invite plus qu’il n’impose. Il a même tiré les rideaux pour nous garantir une ambiance plus intime. Alors, petit à petit, pas à pas, vêtement après vêtement, nous nous retrouvons nus sur le lit. C’est un amant délicieux qui sait s’occuper des femmes, et à ma grande surprise, malgré mon appréhension, il me fait jouir déjà par ses préliminaires. Il ne me demande aucune caresse et se consacre uniquement à mon plaisir. C’est seulement après m’avoir comblée plusieurs fois qu’il s’accorde le droit de jouir et d’éjaculer dans le préservatif avec lequel il s’est protégé. Malgré cet accueil, je refuse de rester plus longtemps, promettant de revenir la semaine prochaine. Juste avant d’ouvrir la porte pour que je regagne ma voiture, il me propose : — Serais-tu d’accord pour que nous fassions chacun un test sanguin ? La semaine prochaine, ce serait plus agréable sans avoir à penser protection. Je vais lui répondre favorablement, car depuis des années j’avais oublié combien cette contrainte pouvait casser l’ambiance, lorsque j’ai un flash, une vision qui me terrorise : celle de Jean-Marc enculant sa pute sans capote. Je crois que je vacille et n’arrive qu’à dire : — Jean-Marc, dans le bureau… Laurent a dû comprendre ma soudaine crise d’angoisse, car en une phrase il me rassure. — Non, ne t’inquiète pas : ils avaient fait le test aussi. Nadine – et en prononçant son prénom il se tourne vers ...