Un vrai problème de conscience
Datte: 21/05/2020,
Catégories:
fh,
extracon,
grossexe,
neuneu,
Collègues / Travail
toilettes,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
Masturbation
Oral
fsodo,
confession,
... simplement impossible ! Interdit ! Je vous raconte pas la frustration… C’est exactement à ce moment-là que la situation a définitivement basculé. J’ai dû faire du bruit… ou il a senti ma présence… Il a soudain levé la tête et il m’a vue en train de l’observer. Il s’est figé. Ses gros yeux globuleux et surexcités me fixaient. Sa lèvre inférieure luisait de salive et pendait encore plus que d’habitude tant il avait besoin d’ouvrir la bouche pour respirer. Une vraie bête… On est restés comme ça, à se regarder pendant de longues secondes, aussi pétrifiés l’un que l’autre. Il fallait absolument faire quelque chose. Ne pas perdre la face. Dans mon cerveau se heurtaient plusieurs idées totalement contradictoires. D’un côté, il fallait prendre le dessus, faire stopper cette activité dégradante le plus rapidement possible et, surtout, faire en sorte de ne m’attirer aucun problème. En effet, les ennuis potentiels, professionnels comme personnels, que cette situation pouvait me valoir étaient tout de même des plus sérieux, je ne vous fais pas un dessin… D’un autre côté, j’avais à faire à une personne plus que limitée sur le plan de l’expression et de la comprenette, donc assez faible finalement et, à ma grande honte, je dois avouer que j’ai tout de suite pensé qu’il n’y avait peut-être pas tant de risques que ça à aller un peu plus loin… à le manipuler un peu… à en profiter… au point où j’en étais… Au pire, ç’aurait été sa parole contre la mienne… et puis merde… cette queue quand même… ...
... c’était pas tous les jours, dans la vie d’une femme qu’on tombait sur un truc pareil… sans compter que j’avais passé une semaine complète à ne penser qu’à ça ou presque. J’avais tellement envie de la toucher… Sans vouloir me trouver d’excuse, on peut dire que je n’étais plus dans mon état normal. Je suis redescendue de la cuvette. Je suis restée comme tétanisée debout dans ce chiotte pendant quelques secondes. À côté, il ne bougeait pas non plus… j’hésitais… Il fallait bien que je fasse quelque chose. Je suis sortie. Et j’ai frappé doucement à sa porte. J’ai commencé par le rassurer en lui disant qu’il n’avait rien fait de mal… tu parles… Je lui ai demandé d’ouvrir sa porte. Je n’en revenais pas de tant d’audace. J’avais un peu repris mes esprits et, maintenant, une idée fixe… l’amadouer… qu’il se laisse faire. Il a ouvert sa porte doucement. Il était là, debout devant moi, avec son braquemart géant encore raide qui pointait dans ma direction, et il ne savait ni quoi dire ni quoi faire. La situation était super sordide mais j’étais trop excitée. Jamais de toute ma vie je ne m’étais sentie aussi excitée qu’à ce moment-là. Je me suis glissée dans le cabinet. J’ai refermé la porte et je lui ai parlé doucement. J’étais incapable de détacher mon regard de son chibre. Je lui ai dit que j’avais entendu du bruit, que c’est pour ça que j’avais regardé, ou une excuse du genre, et puis que c’était très intéressant ce qu’il faisait là… vraiment n’importe quoi… je ne savais plus ce que je ...