Un vrai problème de conscience
Datte: 21/05/2020,
Catégories:
fh,
extracon,
grossexe,
neuneu,
Collègues / Travail
toilettes,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
Masturbation
Oral
fsodo,
confession,
... disais. Lui, il baissait les yeux et il reniflait, il semblait peu rassuré, comme pris en faute. Et moi, j’étais totalement obnubilée par une seule chose, je voulais m’emparer de son truc, le peser, le tâter, le branler… je me voyais déjà en train de faire sortir cet énorme gland de sa peau… de prendre sa queue de mule dans mes mains… Je me suis faufilée pour m’asseoir sur la cuvette. Je lui ai dit que j’allais lui montrer « quelque chose »… je lui ai dit de se laisser faire… Autant dire que j’avais à cet instant totalement perdu conscience du temps, du lieu où je me trouvais, et quasiment du reste du monde. Mon obsession de toute la semaine était là, juste sous mes yeux, à quelques centimètres de mes mains… Comme il ne disait toujours rien, j’ai avancé mes mains vers la chose et, enfin, j’ai pu commencer à la toucher, à la malaxer, à la branler. C’était une sensation incroyable. Certes, j’aime la bite, et je le savais déjà, mais là… un truc aussi énorme, aussi raide… et cette odeur… Je me suis penchée en avant, j’ai approché mon visage de sa queue. Il avait l’air décidé à se laisser faire. J’ai passé plusieurs fois le monumental gland visqueux et prêt à exploser sur mes lèvres et sous mon nez. Je l’ai senti frissonner sur ses jambes. Je me régalais vraiment de cette odeur. Il sentait déjà le sperme, c’était très, très, fort. Combien de fois par jour cet animal pouvait-il se branler pour que sa pine sente si fort ? Comme une affamée folle furieuse, j’ai alors commencé à le ...
... sucer, à enfoncer son gland dans ma bouche, j’ai essayé d’en faire entrer le plus possible, une vraie malade ! Mais comment faire ? Il y en avait trop. J’ai senti qu’il durcissait encore, il avait l’air de particulièrement aimer ça et j’ai alors réalisé que c’était très probablement la première fois de sa vie qu’il se faisait sucer. Sauf si, dans son institution, une infirmière particulièrement curieuse… enfin… Je me l’enfonçais bien dans ma gueule grande ouverte, en le branlant vigoureusement d’une main tandis que, de l’autre, je palpais son lourd paquet de couilles. Quelle masse de bite et de couilles j’avais là ! On aurait pu être plusieurs à se goinfrer là-dessus tellement c’était énorme. J’avais très envie de m’envoyer une énorme décharge de foutre au fond de la glotte, j’étais prête à me goinfrer… il n’y avait plus que ça qui comptait… lui faire cracher sa purée… Je sentais que j’avais complètement lâché les vannes dans ma culotte… ça devait pas être joli joli à voir là-dedans… je ne vous raconte pas l’incroyable envie que j’avais de me faire fourrer… je me serais bien retournée aussitôt pour me carrer ce chibre de dingue le plus profond possible, mais je suçais, je suçais, je me régalais. Je sentais qu’il n’allait pas tenir bien longtemps et je me préparais plutôt à me gaver d’une bonne ration de sperme… il s’est remis à grogner… Je l’ai senti se tendre encore plus. Dans ma main qui lui palpait les couilles, j’ai senti les deux grosses boules s’agiter… il était sur le ...