1. Un vrai problème de conscience


    Datte: 21/05/2020, Catégories: fh, extracon, grossexe, neuneu, Collègues / Travail toilettes, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Masturbation Oral fsodo, confession,

    ... point de tout me défourailler dans la bouche. Ce con m’a agrippé la tête à deux mains et il s’est mis à littéralement me baiser la gueule comme un dément… j’ai presque eu peur mais je me suis laissé faire… Vous avez sûrement vu cette image atroce quand on gave une oie… eh bien imaginez-la encore et vous aurez une idée assez juste de ce à quoi je ressemblais à ce moment-là… sauf que c’était pas du maïs que j’avalais… J’ai senti un liquide lourd et chaud me remplir la gorge. Au moins quatre ou cinq fantastiques giclés… vraiment la maxi dose… J’avais les yeux qui me sortaient de la tête, c’était assez violent comme situation, mais je ne pouvais tout simplement plus m’arrêter de tout gober… Sur le coup, évidemment, je n’y ai pas pensé, mais vu le bruit que ça faisait, j’ai eu une sacrée chance que personne n’entre dans les toilettes… on avait atteint le sommet du glauque. Du sperme m’était sorti de la bouche (impossible d’avaler tout ça). J’en avais sur les joues, ça me coulait sur le menton, c’était assez ignoble. Pendant que je finissais mon festin, Bruno me regardait bien hébété en soufflant rauque… il n’en revenait pas non plus… toujours aucun mot n’était sorti de sa bouche et c’était bien mieux comme ça. Moi, je n’avais plus qu’une idée en tête : me débarrasser de lui le plus vite possible. Je lui ai dit que c’était très bien, très bon, je ne sais plus ce que j’ai pu balancer comme connerie à cet instant-là. Je lui ai surtout dit que c’était un secret, qu’il ne devait ...
    ... jamais en parler à personne, jamais ! Je lui ai demandé s’il comprenait. Il m’a fait oui de la tête… il semblait avoir compris. Moi, j’avais déjà pris conscience de l’incroyable boulette que je venais de faire, de la situation intenable dans laquelle je venais de me plonger et je tentais le maximum pour me rassurer. Comme si je pouvais faire confiance à un type comme Bruno… quelle garantie pouvais-je espérer ? Il pouvait bien accepter n’importe quoi… J’ai aussi dû lui dire que s’il avait aimé ça, s’il voulait qu’on le refasse un jour, il ne fallait vraiment jamais en parler à personne. J’essayais de le convaincre, de lui faire comprendre. Il a encore fait oui de la tête… il a eu l’air de comprendre. Je lui ai dit qu’il devait s’en aller et il est parti aussitôt. Je suis passée au lavabo pour me débarbouiller un peu. J’avais l’esprit très perturbé et je n’étais pas loin de pleurer tellement j’étais à la fois excitée et affolée de ce que je venais de faire. Je suis passée dans ma classe, j’ai récupéré mes affaires et, avec Bruno, nous avons quitté l’école. En fermant le portail, cette fois-ci je l’ai regardé et j’ai lourdement insisté en lui répétant que c’était un secret, notre secret, qu’il ne devait surtout jamais rien dire à personne. Il m’a dit « Oui, Madame… » Je suis rentrée chez moi encore plus bouleversée que le mercredi précédent, envahie par un sentiment de culpabilité atroce. J’ai failli en parler à mon mari, j’étais vraiment à deux doigts de le faire. Peut-être que dans ...
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