1. Sens dessus dessous et à l'envers aussi


    Datte: 29/05/2020, Catégories: fh, hh, hbi, jeunes, copains, école, humilié(e), cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme strip, Masturbation yeuxbandés, fouetfesse, init,

    ... souhaitait une bonne soirée à Ulrich et Hélène qui eurent la décence de ne pas me taquiner. Ils voulaient mater je ne sais quel film dans la pièce ridicule que nous appelons « le salon » par dérision : 1,5 m². Un canapé deux places et la télé. Je leur laissais la place bien volontiers ; je comptais bien m’offrir une heure ou deux avec la Belle au bois dormant. Je m’enfermais à clef dans ma chambre, me jetais sur le lit et reprenais ma passionnante lecture. La Belle recevait divers châtiments et, chose incroyable, ne jouissait que dans la souffrance. Les Princes servaient de chevaux humains : ils tiraient des carrosses, nus, une pseudo-queue de cheval enfoncée dans l’arrière-train et le soir venu, regagnaient leur box où ils se livraient à diverses turpitudes. Le récit de ces copulations plus ou moins forcées entre hommes était écrit de telle sorte que même moi, hétéro convaincu, je ne pouvais résister à l’envie de me branler en imaginant un petit cul serré tendu vers moi. Quelques litres de sperme déversés par les personnages plus tard, je ressentis le besoin de me désaltérer un peu avant de conclure ma soirée comme la précédente. Je sortis en caleçon de ma chambre, direction la cuisine. Le couloir qui y menait passait en fait devant « le salon » mais je n’eus pas fais trois pas que j’entendis distinctement : — Non, je veux juste te caresser… soufflé tout bas par une voix féminine. Hélène, bien entendu. Après tout ce que je venais de lire, ma salive déjà déficiente disparut ...
    ... complètement. Mon érection, difficilement contenue le temps de mon escapade vers le frigo, repartit de plus belle. Sur la pointe des pieds je me rapprochais lentement. Les dialogues d’un film couvraient ma progression et je pus bientôt jeter un coup d’œil vers mon colocataire et sa petite brune. Je vis de trois quarts face Ulrich, avachi dans le canapé et Hélène, allongée contre lui, sa main enserrant un sexe tendu vers le plafond, gonflé au maximum d’après ce que je devinais dans la pénombre ambiante. Le téléviseur seul éclairait la scène. Hélène maintenait un rythme régulier, tirant sur la douce peau du sexe d’Ulrich, roulant son poing autour du gland dressé, sa bouche à quelques centimètres de celui-ci. Elle n’approchait pas plus ses lèvres de cette bite obscène, se contentant d’en presser le moindre repli, de la comprimer dans sa main délicate dans un geste de plus en plus rapide. Ulrich ne regardait l’écran que d’un œil, son bassin tendu en avant, allant par à-coups au-devant des caresses d’Hélène. Je ne parvenais pas à me détacher de cette vision. Mon regard glissait des couilles lisses au gland agité de soubresauts. Ma queue me faisait mal et je n’hésitais pas plus longtemps à l’extraire de son carcan de tissu. Sans un bruit, je m’employais à m’astiquer selon le rythme tenu par Hélène. Elle ne semblait guère attentive à ce qu’elle faisait ; presque distraitement sa main pilonnait la colonne de chair tandis qu’Ulrich haletait doucement. Mon excitation parvint rapidement ...
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