Sens dessus dessous et à l'envers aussi
Datte: 29/05/2020,
Catégories:
fh,
hh,
hbi,
jeunes,
copains,
école,
humilié(e),
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
strip,
Masturbation
yeuxbandés,
fouetfesse,
init,
... à son comble. Soudain, Ulrich se cabra et Hélène étouffa les giclées de sperme dans son poing, s’activant tout en douceur sur le gland qui luisait dans le noir. Je jouis moi aussi, me déversant dans mon caleçon, sur ma main. Je me retirais en silence. Du foutre coulait le long de la jambe. La journée du lendemain fut le comble du supplice de Tentale dont j’étais victime depuis le début de l’année universitaire. Tout se déroula pourtant incroyablement bien dans un premier temps. Lorsque Alicia me témoigna son impatience de passer la soirée avec moi en pressant sa main légèrement sur ma cuisse, mon sang afflua là où l’espace faisait déjà défaut. Etait-ce dû à sa tenue trop légère pour la saison ? Savez-vous ce que c’est, chères lectrices, que de deviner l’arrondi d’un sein nu sous une unique épaisseur de tissu léger ? Comment expliquer cette tension soudaine à la vue d’une cuisse à peine dévoilée ? Pourquoi un simple sourire peut-il faire fondre à ce point et tendre aussi bien ?… toutes sortes de questions auxquelles je ne pouvais répondre, étant la victime consentante de ces artifices divins. Comment oublier le parfum que déployait Alicia ? Cette petite chose douce, envoûtante, avec une pointe de je-ne-sais-quoi un peu plus profond et charnel. Le suave mélange d’un flacon quelconque et du grain de sa peau à peine mâte m’électrisait les sens. Le début de l’après-midi commencé, je ne cessais de jeter des coups d’œils à ma montre et à ma sismique voisine alternativement. Alicia, ...
... Alicia, Alicia, ce soir tu seras à moi… Ces seins combleront mes mains, ces lèvres s’ouvriront aux miennes et ce sexe humide se frottera à moi dans des spasmes de désir. 18h30 : Alicia rentre dans ma chambre. On s’installe comme deux vieux amis, je range vite fait le bordel environnant tandis qu’elle parcourt ma bibliothèque de jeune homme studieux. Nous passons ensuite deux heures à reprendre mes cours, à mettre de l’ordre dans ce qui vaut la peine d’être photocopié ou non. Nous sommes assis côte à côte sur le bout de mon lit et mon esprit à du mal à se détacher de cette certitude : je vais finir par me jeter sur elle comme un fauve. Je n’aurais pas à prendre cette initiative. Peu avant l’heure du repas, tandis que nous approchons de la fin de notre travail, Alicia me demande, d’un ton détaché et serein : — Manu.. tu veux baiser ?— …que… qui.. hein ?— J’ai bésoin dé faire l’amoure ce soir. Je ne prends pas le risque de sortir une autre brillante réplique : ma main s’accroche légèrement à la courbe de sa nuque et je l’attire à moi pour un délicat baiser. Je résiste à l’envie de mordre dans ses lèvres offertes, je les effleure, mon souffle se mêle au sien et ma langue darde bientôt pour rencontrer la sienne à la frontière de nos bouches. Elle a un goût de fraise. Quelques minutes plus tard, je me lève pour éteindre la lumière. — Laisse, ça ne mé dérange pas, souffle Alicia, allongée sur mon lit, pieds nus, vêtue d’une chemise rouge pâle légère et d’une jupe raide qui s’arrête ...