1. Didier Renon


    Datte: 03/06/2020, Catégories: fh, extracon, Collègues / Travail toilettes, odeurs, Oral

    ... curseur en haut de l’écran et le voici qui tape au clavier : Humm ! Quel fumet ! J’aime cette odeur de chatte. Ma proposition tient toujours ! Je n’en crois pas mes yeux, surtout quand je le vois ajouter : Dans cinq minutes, rejoignez-moi au premier étage, dans les toilettes pour handicapés. Puis il se tourne vers moi : — Alors, qu’en pensez-vous, cela a l’air d’aller. Cela vous convient comme ça ? Je suis rouge de la tête aux pieds, aucun mot ne sort de ma bouche. Le voici qui se lève et qui me laisse seule avec mes tracas. Vais-je le rejoindre ? Non, ce n’est pas possible, je ne peux faire ça à Eric et puis ce Didier ne m’inspire rien qui vaille. Je reste debout, les bras ballants, à contempler les quelques mots qu’il a laissés sur l’écran de l’ordinateur. Je ne trouve pas grand chose à répondre à tout ça. Je me contente de taper un : Vous êtes complètement fou ! peu convaincant, à la suite de son message, puis je vais rejoindre de suite mes autres collègues, espérant trouver parmi eux une protection face à ce rustre. Le lendemain, je reçois, pour toute réponse, un exemplaire du dossier Vernaud avec un petit post-it glissé au beau milieu : Je vous ai attendue. Dommage pour vous, si un jour vous êtes vraiment décidée, faites-moi signe. Je suis très loin d’être décidée. Pourtant, je dois reconnaître que cela me travaille énormément. Le soir, avant de m’endormir, je m’imagine souvent assise sur le lavabo des toilettes et Didier Renon à genoux devant moi, en train de me faire ...
    ... une minette. Je suis de plus en plus sensible à mes odeurs intimes. Il me faut bien reconnaître qu’il suffit de pas grand chose pour que je sente assez fort. Un soir, je suis au lit avec Eric et les relents de mon entrecuisse remontent jusqu’à mon nez : écœurants et acides. Mon homme ne fait aucune remarque à ce sujet mais j’ai remarqué que, dans ces cas-là, il se garde bien de me lécher. Curieusement, je n’ose pas aborder le sujet avec lui, de peur d’être déçue. Il me fait l’amour normalement et éjacule sur mon visage, comme il adore le faire. Puis il s’endort en me laissant à moitié insatisfaite. Ça lui arrive de temps en temps, de plus en plus souvent, je trouve. Je me relève et vais me finir toute seule dans les toilettes. Je pense très fort à monsieur Renon, je m’imagine en train de lui faire sentir ma minette très odorante. Je jouis très fort en pensant à cette situation. Au petit matin, l’idée de ne pas prendre de douche me traverse l’esprit. Dans la salle de bain, plutôt que de me laver, je glisse mes doigts dans ma chatte et les porte à mon nez. J’empeste vraiment, mais la perspective de faire sentir mon sexe à mon collègue m’excite au plus au point. Dans le bus, j’ai l’impression que tout le monde me regarde. J’ai remis ma petite culotte de la veille, une véritable infection ! Je dois être folle. La matinée est un calvaire car Didier est parti ce jour-là en déplacement. Son collègue ne sait pas s’il sera là ou pas dans l’après-midi. Je passe tout mon temps à regarder ...