1. Didier Renon


    Datte: 03/06/2020, Catégories: fh, extracon, Collègues / Travail toilettes, odeurs, Oral

    ... en direction du parking pour voir si sa voiture revient, mais la place reste désespérément vide. Ce n’est qu’en fin d’après-midi que je le croise par hasard devant l’ascenseur : — Monsieur Renon, monsieur Renon… Je me sens comme une collégienne à son premier rendez-vous, face à lui, je ne sais trop quoi dire. Et cet homme bourru ne m’aide vraiment pas. — … Je suis d’accord pour ce que nous avons convenu l’autre jour… J’en tremble de tout mon corps ! — Laissez-moi au moins le temps de poser mes affaires, répond-t-il peu aimable en bougonnant. Je vous rejoins dans un petit quart d’heure, Emmanuelle. Je suis à la fois déconfite et excitée comme une puce. Je file de suite au premier étage, entre dans les WC pour handicapés en laissant la porte légèrement entrouverte, pour guetter l’arrivée de cet irascible collègue. Les minutes s’égrainent, interminables. Cela fait presque une demi-heure que je suis là. M’a-t-il oubliée ? Ou me fait-il languir ? J’ai le temps de penser à tout ce qui va se passer. Je dois être folle de me donner ainsi à cet homme marié ! Mais le voici qui arrive, je suis toute tremblotante. Il rentre à son tour dans la petite piécette et referme la porte derrière lui. Il renifle à fond en ouvrant bien ses grosses narines : — Vous avez la moule très acide, Emmanuelle ! dit-il vulgairement. Il s’assoit sur la cuvette des toilettes et me demande de m’approcher. Sans plus attendre, il pose sa tête entre mes cuisses et me respire à travers ma jupe : — Oh putain, ça ...
    ... c’est sûr, c’est de la chatte ! se contente-t-il de dire pour m’humilier. Ça sent bien la marée. D’une main experte, il dégrafe le vêtement et le fait tomber sur mes pieds. Je me retrouve en petite culotte devant ce vieil homme lubrique. Il la hume, il la lèche, il l’inhale, il semble comme fou à renifler mes odeurs et j’en suis toute excitée. J’en suis trempée d’envie. Quand il écarte enfin le bout de tissu humide, je suis hors de moi. J’aurais envie qu’il me baise là, de suite, à fond et sans attendre, comme la dernière des catins, sur la cuvette des toilettes. Mais il n’en fait rien. Il se contente de sentir ma minette et de passer sa langue lentement dessus. Il exacerbe encore mon désir et il prend tout son temps. Sa langue entre mes chairs me met hors de moi, j’ai tous les nerfs à fleur de peau. Après avoir ôté ma culotte, il me demande de m’allonger sur le carrelage. Il vient entre mes cuisses et me dévore comme je n’ai jamais été dévorée de ma vie. Cela dure longtemps, un temps infini ! Je ne compte plus les jouissances. J’ai les lèvres en sang à force de me les mordre pour ne pas crier. Plusieurs fois, je lui demande de me prendre mais il ne tient aucun compte de mes suppliques et se contente de me manger. Il ne me mange pas, il me bouffe, il me dévore à pleine bouche, vorace comme un animal affamé. Ma chatte est tuméfiée à force de léchage, peu habituée à subir un tel traitement. — Il est bientôt neuf heures, je dois y aller, annonce-t-il soudain en se redressant. Il ...