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La vieille Henriette et le jeune Christophe en 198
Datte: 04/06/2020, Catégories: Hardcore, Mature, Inceste / Tabou
... sale et franchement jouissif. J’étais en train de l’enculer face à l’écran, une levrette de barbare, elle couinait comme une truie, c’était bon, et puis on était qu’à ça, l’œil rivé sur la partouze.On a rien entendu, jusqu’à ce que j’entende ma mère hurler, un cri d’horreur devant le spectacle. Henriette les seins pendant sous elle, moi en train de l’enculer, le film porno, c’en était trop pour elle. Mon père arriva derrière elle juste à temps pour la récupérer avant qu’elle ne se fracasse sur le sol, elle venait de s’en évanouir. Il a fait une drôle de tête quand ils nous a vu, on était Henriette et moi comme paralysés devant l’arrivée de mes parents. Il n’a pas eu à le répéter, il a demandé qu’elle parte, elle n’avait même pas fini de remonter ses bretelles de sa robe, elle s’est retrouvée dehors avec un sein encore à l’air. À peine la porte fermée derrière elle j’ai pris une baffe monumentale, puis une seconde. Ma mère se réveillait de son évanouissement, elle balbutiait des « chez nous, ils ont fait ça chez nous, chez nous, avec cette vielle, quelle horreur… ». Mon père la calmait, et d’un regard j’ai compris que je devais aller immédiatement dans ma chambre, ce que j’ai fait. J’ai entendu ma mère pleurer une bonne heure, je ne faisais pas le malin, je ne savais pas trop à quelle sauce ils allaient me manger, mais la punition pour l’affront allait être sévère. Ce fut le cas.Leur voiture était tombé en panne, ils avaient pris un taxi pour revenir, voilà c’est tout bête ...
... comme truc, c’est comme ça que j’ai fini loin du quartier. Il y a eu une chape de plomb sur mes exploits, ils n’en ont même pas reparlé, je devais partir, ils avaient la solution mon oncle et ma tante à Cherbourg. Le lendemain j’étais dans le train penaud. Ma tante à fait la gueule, ils savaient avec mon oncle, mais lui il m’a rassuré, ça lui plaisait que je sois plus dégourdis que les autres, deux jours après mon arrivée, il me raconta ses exploits de jeunot, il en avait fait de belles, il allait aux putes, et une vieille comme Henriette il en avait baisé une aussi, il me demanda si elle était bien salope, il voulait des détails. J’ai tout raconté, ça nous a créé du lien, on se connaissait peu, c’est le mari de ma tante, pas vraiment de ma famille, il a été cool, sans lui ça aurait été l’horreur cet expatriation loin du quartier.Je n’ai pas pu revenir chez mes parents avant trois ans, l’affaire était toujours dans leurs pensées, ces cons sont des cathos de merde, ce que j’avais fait été tellement odieux que si justement ils n’avaient pas eu les conseils de leur curé je n’aurais pas pu revenir. Je ne suis pas venu longtemps, d’ailleurs je ne suis jamais revenu ensuite. 4 jours, le temps de comprendre que mes vieux et moi c’était mort et de prendre des nouvelles d’Henriette. J’y ai été, la maison était fermée, un ancien pote m’a dit qu’elle avait déménagé à peu près en même temps que moi, je suis resté évasif sur le pourquoi de ma question, j’ai jamais revu Henriette, mais si ...