La stagiaire
Datte: 07/06/2020,
Catégories:
fh,
hplusag,
Oral
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... qu’ailleurs c’est toujours mieux. Bon, qu’attendez-vous de moi ?— Je dois faire un rapport de stage. En gros, c’est six pages décrivant votre activité.— Six pages seulement, vos profs ne veulent pas se surcharger ? Sans réfléchir, j’ai croisé mes jambes et j’ai vu son regard qui ne perdait rien du mouvement. — Vous savez, il me serait utile que vous me fassiez profiter de vos expériences, je me sens si peu sûre de moi. Un soupçon de culotte blanche entraperçue et sa demande de partager « mes expériences » me rendaient un brin nerveux. (C’est çà ! Fantasme, vieux con, si tu crois que tu as une chance de la séduire, rêve ! Ou alors, c’est vénal et t’es pas dans la merde, chez toi). — Quand je dis profiter de votre expérience, c’est surtout me donner des conseils pour un entretien avec un recruteur, que dire, comment m’habiller ?— Désolé, jeune fille, je dois aller à un rendez-vous. Si vous le souhaitez, voici un texte que j’avais fait sur mon job pour une conférence. C’est presque un rapport de stage tout fait. Revenez demain, même heure, et on en parlera. Un peu surprise, elle se leva et me salua. — Au fait, pour savoir comment vous habiller pour un entretien, venez avec deux ou trois tenues différentes ! Elle sourit, et le noir de ses yeux était encore plus brillant. J’ai pas pu dormir, je suis moche, j’ai peur d’être chez lui (à lui ?) dans la douceur de sa maison (sous la douceur de ses caresses ?). S’il savait que je suis vierge, est-ce qu’il rirait, me croirait ? À 9 ...
... heures, le portail s’ouvre. Je suis en jean et blouson. La porte-fenêtre est ouverte. Sans que je puisse expliquer pourquoi, je rentre et lui colle deux bisous, des gentils, comme à un copain et pose mon sac de vêtements. — Et demain on se tape dans le dos ? Me demande-t-il.— C’est venu comme ça, excusez-moi. Le café est servi sur la table basse. — Au travail jeune fille, assez plaisanté ! Elle me le faisait un peu space ce matin, avec son jean noir moulant, son blouson et ses boots à talons. — Asseyez-vous.— J’ai un peu chaud, vous permettez ? En me regardant d’un oeil pétillant, elle enlève son blouson. Ouaaah !! Elle fait des économies de tissu ! Un petit haut en soie noie, fines bretelles, s’arrêtant au-dessus du nombril et dévoilant son ventre un peu hâlé. L’étoffe est souple sur son corps, ses seins sont libres, hauts sur son buste, bougeant à peine lorsqu’elle s’assoit. — Vous allez à un entretien comme ça et vous risquez une attaque sauvage !— Pourquoi, quelle attaque ?— Le moins grave pour vous serait une attaque cardiaque de votre recruteur. Elle se lève et tourne sur elle-même ; ses seins suivent le mouvement avec un fier tremblement, les épaules bien tenues en arrière, le ventre plat, les reins cambrés et ce cul mis en valeur par le jean moulant et ses talons. Je sens une forte pression envahir mes tempes et mon pantalon. (Mon vieux, va te rafraîchir, tu vas pas tenir le coup !) — Si c’est pour un casting, c’est parfait ; pour un entretien, c’est risqué.— Je sais, ...