1. Le pas du cheval du chevalier (parodie)


    Datte: 02/10/2017, Catégories: fhh, inconnu, bizarre, forêt, Masturbation pénétratio, délire, humour,

    ... indistincts. — Hum, il fait vraiment bien chaud, aujourd’hui, dit Armand. Le printemps est très doux cette année. Pélagie lui jette un regard surpris. — Le printemps ? Anatole s’approche discrètement de son maître, et lui fait signe de se pencher vers lui : — Sire, cette femme ignore peut-être ce que sont les saisons, en ce Royaume. Elle vient sûrement d’un pays lointain, chuchote-t-il à l’oreille du chevalier. Ce dernier hoche la tête. — Oui, il est vrai. Anatole, as-tu remarqué son accent ?— Oui, et j’ignore vraiment de quelle lointaine contrée elle peut être originaire. Pélagie, marchant d’un bon pas, se retourne de temps à autre pour leur jeter de drôles de regards. Les deux hommes lui sourient alors, puis reprennent leurs messes basses. D’instinct, leurs yeux se vissent au postérieur moulé dans de drôles de chausses, qui se balance devant eux. — Dites-moi, belle Pélagie, intervient alors le chevalier à voix haute, de quel royaume venez-vous ? Pélagie rit un peu, au grand dam des deux hommes. — Je viens d’ici, dit-elle. J’ai toujours habité cette région. Armand de Montfort ne sait plus où se mettre. Elle a tellement l’air d’être une étrangère ! Un brin perplexe, il reluque une nouvelle fois les hanches aux courbes harmonieuses qui se baladent devant ses yeux, hypnotisés par tant de beauté. — Et vous ? s’enquit-elle en les regardant d’un air amusé. Vous venez sûrement du même endroit, tous les deux ? Anatole et Armand prennent une mine déconfite. — Bien sûr que non, ...
    ... répond Armand d’une voix guindée. Anatole est mon serviteur.— Oui, acquiesce Anatole, je suis un serviteur. Pélagie les observe, et à nouveau, elle a ce drôle de regard. Apparemment, ces propos sont censés l’éclairer. Encore une fois, elle jette un rapide coup d’œil autour d’elle, s’attendant à tout moment à voir débarquer des gens avec une caméra. — Oh, très bien, fait-elle, souriant. C’est ce que j’ai cru… désolée. Elle voit soudain le chevalier regarder de tous côtés d’un air curieux. Ah, enfin, peut-être va-t-elle avoir l’explication de tout cela ! — Vous cherchez quelque chose, monsieur Armand ? Armand sursaute. Cette façon qu’elle a de s’adresser à lui ! Mais enfin, bon, peu importe. On ne peut pas en vouloir à une femme qui a un si joli popotin. — Eh bien, oui, chère Pélagie. Je me demandais où étaient vos valets ?— Mes val… ah ! heu, je n’en ai pas ! Anatole en a un hoquet de surprise. Sous son casque, Armand ouvre de grands yeux. — Comment ? Mais… vous n’avez point peur des brigands ?— Je suis chez moi, monsieur Armand… Je n’ai pas peur des… heu… brigands. Armand de Montfort a l’air impressionné. Il la regarde béatement, le coin de l’œil humide. — Tudieu, vous êtes une femme exceptionnelle ! la complimente-t-il. Quel courage ! Humm, avez-vous déjà été en épousailles ? Pélagie fronce les sourcils, essayant de comprendre. — Pardon ? fait-elle, ahurie. Armand est gêné. La question lui a échappé. Il commence à transpirer sous sa cotte de mailles. Quelle idée de s’harnacher ...
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