1. Le pas du cheval du chevalier (parodie)


    Datte: 02/10/2017, Catégories: fhh, inconnu, bizarre, forêt, Masturbation pénétratio, délire, humour,

    ... dans les bonnes grâces de sa jolie Pélagie, lui caresse les fesses, puis les cuisses, et enfin la fente humide, qui avale ses doigts comme une gloutonne. Il déglutit, excité comme un ours en rut. Sans crier gare, il dirige son gros membre vers la source du plaisir et l’introduit à l’intérieur d’un coup de hanches vigoureux. Pélagie pousse un grand cri, surprise. La poussée de ce sexe est bien différente de celle du majordome ! Elle sourit, aux anges. Elle ne regrette vraiment pas sa décision. Les deux hommes font sans doute une belle brochette de cinglés. Mais ils connaissent leur affaire, ça c’est sûr ! Puis elle ne pense plus à rien d’autre qu’à ces reins qui claquent contre ses fesses, ce pénis qui la taillade en deux. Secouée d’avant en arrière sur le tapis, elle pousse des râles et des cris de volupté. Prenant de l’assurance, Armand se jette en arrière, et saisit la jeune femme par la taille, avant de la renverser dos contre le tapis. Pélagie ouvre de grands yeux surpris, mais sourit. Le jeune homme lui écarte les cuisses, et se couche sur elle, la pénétrant d’un autre coup de reins puissant. Puis il va-et-vient sur elle, en elle, jusqu’à ce qu’elle se mette à hululer un son qui n’est pas sans lui rappeler le cri de la chouette. Sentant son plaisir aux spasmes qui la traversent, Armand redouble d’ardeur et se laisse enfin aller, sans un bruit, des étoiles plein les yeux. Un long moment ...
    ... s’écoule. Les deux jeunes gens reprennent leur respiration. Soudain, Anatole, qui s’est fini tout seul dans son coin, rompt le silence. — La prochaine fois c’est toi qui feras le serviteur, grommelle-t-il en regardant Armand d’un air mauvais. Y en a toujours que pour les chevaliers, c’est pas juste. Armand roule sur le côté, et pose sur Pélagie, alanguie, un regard brillant. — Tu sais, il est complètement fou, murmure-t-il gaiement, dans un rare moment de lucidité. Pélagie éclate de rire. Le lendemain matin, les deux hommes reprennent la route. Armand de Montfort a remis son armure, son casque de moto, ses babioles autour de sa taille, et Anatole son costume de majordome. Pélagie les regarde s’éloigner en leur faisant au revoir de la main, tout sourire. Elle se dit qu’elle ne saura jamais où ils ont été pêcher leurs accoutrements. Elle ne sait pas encore que deux jours plus tard, elle tombera sur un article dans le journal, signalant que les deux échappés de l’asile ont été récupérés sans dommage, et qu’elle décidera d’aller les voir, de temps à autre, pour leur tenir compagnie. En s’éloignant sur son cheval qui marche au pas, son fidèle majordome à ses côtés, le chevalier Armand de Montfort se sent très triste. « Finalement, ce n’était qu’une gourgandine », pense-t-il avec déception. Mais il en gardera quand même un bon souvenir, même s’il sait qu’il ne peut pas épouser une fille de mauvaise vie. 
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