1. Souffler n'est pas jouer (1)


    Datte: 10/06/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... peut plus que subir. Aucun son ne franchit plus ses lèvres, sa gorge fortement occupée par un limage qui dure longtemps. La mince paroi entre les deux bites qui se croisent en elle, rend leurs propriétaires fous de désir. Ils sentent, ressentent le plaisir de l’autre à travers cette fine barrière et ils bandent encore plus. Il faut aussi avouer qu’elle prend un pied d’enfer cette Caroline qui les fait reluire les trois en même temps. Plus ils vont vite plus elle semble prendre son pied, y trouver son compte. Quand celui qui lime depuis le plus longtemps a les premiers sursauts de l’éjaculation, il communique à son comparse cette frénésie de se vider en elle. Alors par saccades, l’un dans le fondement, l’autre dans la chatte ils se libèrent de leurs tensions. Seul Ray qui s’est déjà vidé une première fois, résiste encore à ce corps de femme qui leur prodigue cet amour physique avec cœur. Elle y met autant de force et d’ardeur que lorsqu’elle joue au billard, finalement. Sa dette s’éteint quand la dernière chandelle se consume en larmes blanches. Ils sont tous les ...
    ... quatre sur le billard. Nus tous, ils se regardent d’un air un peu gêné, et elle ferme les yeux attendant qu’ils se rhabillent. Le bras en croix sur le vert de ce mini terrain où elle vient de gagner en dernier ressort cette manche finalement plus humiliante que désagréable, elle s’étire comme une chatte qui vient de connaitre le matou. Ils sont à nouveau en position debout, la regardant gentiment alors qu’elle tente de remettre en place sa jupe. Ray d’une main l’aide à agrafer son soutien-gorge. Les deux autres sont là, avec des mercis pleins les yeux, comme si elle venait de leur offrir le monde. Pas un mot pour lui faire sentir son statut de nouvelle salope. Mais elle retourne toutes ces images dans sa tête, comme pour se punir. Puis finalement elle repense à cette partie... de billard. À ces parties de billard finalement ! N’en était-ce pas une également que ce qu’elle vient de vivre ? Et son corps repu se recouvre des oripeaux de femme respectable. La voici prête à rejouer de nouveaux racks, se promettant, bien entendu de les gagner tous. Même sur le tapis vert... 
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