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Souffler n'est pas jouer (1)
Datte: 10/06/2020, Catégories: Partouze / Groupe
... tressaillement de sa peau, les pointes de ses seins se sont tendues, comme si elles montraient cette sorte de désir larvé, qui couve en elle. Caroline se traite de folle, de cinglée, de ne pas savoir cacher cet émoi pas vraiment justifié et encore moins justifiable au vu de la situation. Elle sait bien que s’il tenait sa culotte, il serait tout aussi surpris par cette humidité qui en couvre le fond. Près d’elle, cet homme, ce Franck n’est plus totalement spectateur. Il a simplement posé sa main sur un sein bien rond. Il le pétrit, le malaxe sans vergogne et elle se raidit de sentir sa chair si fragile, si prompte à réagir à cette sollicitation impudente. Elle avance son corps comme pour suivre la caresse, et le téton gonfle, se gorge de la sève de l’envie. L’autre aussi, du reste suit le mouvement, mais il n’est en rien sollicité pour l’instant. Le second compagnon de Ray s’est lui aussi rapproché, il tient sans doute à avoir sa part du gâteau. Alors que l’autre est devant elle maintenant, celui qui arrive se place derrière elle. Un court moment elle s’imagine déjà être un sandwich, ils sont le pain, elle devient le jambon. Une main est partie à l’aventure. Il s’agit bien de cela puisqu’elle glisse sous l’ourlet de sa jupe, la relève pour venir longer sans souci, l’étoffe lisse de la culotte. Puis les choses s’accélèrent et la bouche de celui qui est devant elle, tend à happer ce bout brun du sein que les doigts lâchent. Elle se laisse sucer les nichons sans dire un mot, ...
... mais avec des soupirs qui en disent long sur ses réactions à cette caresse. Il est évident que cette attitude encourage le possesseur de la main qui folâtre sous le tissu. Il ne faut guère de temps pour que les doigts écartent l’élastique de ce triangle de satin et de dentelles. Seul Ray qui jusque que là n’a pas bronché, reste à l’écart de cette prise de contact. Caroline ne trouve pas désagréable que ces individus s’occupent de son corps. Elle a fermé les yeux depuis les premiers attouchements et elle se laisse faire ; submergée par ces mains qui grenouillent partout sur elle. Elle ne les ouvre pas non plus quand une autre venue d’elle ne sait où, entraîne son bras au bout duquel sa menotte se trouve en contact avec quelque chose qu’elle identifie de suite. C’est Ray qui dans un geste plein de douceur a fait venir la patte féminine sur quelque chose de très masculin. Ce n’est plus que soupirs et gémissements alors qu’ils ont tous les trois trouvé des endroits à visiter, à explorer, qu’elle reste attentive aux moindres câlins qui lui font soulever sa poitrine. Leurs gestes ne sont pas brusques, pas brutaux, ils s’emploient à lui donner du plaisir et tentent également de cette manière, d’en prendre eux aussi. La première bouche à venir entrouvrir la sienne c’est celle de son vainqueur. Il plonge sa langue à l’abordage de son palais, lui coupant le souffle. Elle reprend un peu d’air, alors que d’autres lèvres abordent à nouveau les siennes. Elle se trouve soudain soulevée par des ...